Livres Mode d'emploi
  • Montagnes de la folie

Montagnes de la folie

Description

Et si la planète, dans les zones que personne n'a explorées encore, préservait intacts des secrets d'avant l'âge humain?

Et si l'évolution, l'art, les guerres mais aussi la décadence de ces races pré-humaines nous parlaient de notre propre cvilisation, ses peurs, ses dangers?

Les années 20 sont un point culminant de l'exploration antarctique. On explore le continent inconnu en avion, et les expéditions communiquent par radio avec les journaux du monde civilisé. La photographie, la radio, les transports aériens sont des révolutions techniques à égalité de ce qu'on apprend sur l'univers, la dérive des continents, ou tout simplement le corps, ou le cerveau.

C'est dans cette cette Amérique-là qu'à Providence, dans sa chambre du 10 Barnes Street, Lovecraft le solitaire va écrire ses plus grandes oeuvres.

«Montagnes de la folie»: une première rédaction manuscrite de 80 pages, biffurée, raturée, surchargée, écrite du 24 février au 22 mars 1931, et qui va devenir, les deux mois suivants, un dactylogramme de 115 pages. Ce texte exceptionnel, qu'on ne peut lire sans frissonner, un des plus grands classiques de la littérature fantastique de tous les temps, et un des plus longs de Lovecraft, sera pourtant refusé par tous ses éditeurs, dont le principal, le magazine «Weird Tales», et ne sera publié que 5 ans plus tard, quelques mois avant sa mort (en 1937, à 46 ans), dans une version tronquée et charcutée.

C'est depuis quelques années seulement qu'existe un texte fiable et complet des «Montagnes de la folie», en voici la première traduction française.

En route pour le grand Sud de tous les mystères, tous les mirages, sa cité morte et ses montagnes interdites.

FB

Dans la même catégorie