Aleksandra Kurzak, Roberto Alagna
- magazine : Opéra Magazine
- numero : 144 - novembre 2018
- date : 05 novembre 2018
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Nina Stemme
Le Prix « Birgit Nilsson » pour Nina Stemme
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Aleksandra Kurzak, Roberto Alagna
Unis à la ville, parents d’une petite Malèna, la soprano polonaise et le ténor français
sont également partenaires sur le plan professionnel. Alors que Sony Classical publie
un album de duos de Puccini (Puccini In Love) et Warner Classics une intégrale de
La Navarraise de Massenet, le couple prépare ses prochaines retrouvailles en public :
un concert de la série « Les Grandes Voix » au Théâtre des Champs-Élysées, le
6 novembre ; Luisa Miller à Monte-Carlo, le 15 décembre ; Carmen à New York, le
9 janvier ; Otello à l’Opéra Bastille, le 7 mars... -
Laurent Brunner
Le directeur de Château de Versailles Spectacles termine l’année 2018 en majesté, avec
le lancement de son propre label discographique et une avalanche de soirées lyriques
prestigieuses : La Damnation de Faust, Tarare de Salieri, Actéon couplé avec Pygmalion... -
Jean-Luc Choplin
Marigny, le théâtre du beau temps
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Pierre Bartholomée
Un nouvel opéra pour Metz
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Karen Vourc’h
En plus d’être l’une des Mélisande les plus recherchées de ces dix dernières années, la soprano
française est devenue incontournable dans le répertoire contemporain. Le 16 novembre, à
Metz, elle incarnera Estelle dans la première de Nous sommes éternels de Pierre Bartholomée. -
Riccardo Frizza
Le nouveau directeur musical du Festival « Donizetti Opera » prendra la baguette pour le
concert inaugural du 22 novembre puis, à partir du 24 novembre, pour une nouvelle production
d’Il castello di Kenilworth, rareté napolitaine de 1829, avec Jessica Pratt en tête d’affiche. -
Montserrat Caballé
L’une des plus grandes sopranos du XXe siècle s’est éteinte le 6 octobre à Barcelone, sa
ville natale, à l’âge de 85 ans. Même si elle aborda les répertoires les plus différents et
regretta toute sa vie de ne pas avoir davantage chanté Richard Strauss, son compositeur
préféré, Montserrat Caballé est, avant tout, entrée dans l’histoire pour ses incarnations
de Bellini, Donizetti et Verdi. Sa Norma, sa Lucrezia Borgia, sa Giovanna d’Arco,
sa Leonora d’Il trovatore, son Aida tiennent du miracle par la volupté du timbre, la
longueur d’un souffle que l’on croirait infini et, bien sûr, ces impalpables pianissimi
aigus qui demeureront, pour l’éternité, sa signature.