Alvin Ailey

Sommaire

• Unique dans son genre

  Ballet de l’Opéra de Lyon

  par Sonia Schoonejans
• Les frontières physiques de Meg Stuart

  Damaged Goods

  par Sonia Schoonejans
• Scarlett en Côte d’Azur

  Ballet Nice Méditerranée

  par Gerald Dowler
• Mayerling, quelle histoire…

  The Royal Ballet

  par Gerald Dowler
• Mahler et la parodie

  Ballett am Rhein

  par Jean Pierre Pastori
• La danse sauve des eaux

  Malandain Ballet Biarritz

  par Martine Planells
• Alvin, l’engagement et V.O.

  Signature historique – pour ne pas dire désormais “mythique”, car le temps met tout très
  vite à distance – de la critique de danse, Vittoria Ottolenghi fut une collaboratrice fidèle
  et une supportrice convaincue de cette revue de 1980 jusqu’à sa disparition en 2012.
  Parmi les nombreux chorégraphes qu’elle a suivis au cours de sa carrière de journaliste,
  pratiquement tous les plus grands des cinquante dernières années, Vittoria avait “un
  faible” pour certains (pas nombreux), pour des raisons culturelles et de goût, ou
  d’affinités, pas toujours évidentes. L’un de ceux-ci était Alvin Ailey. En 2003 (n° 147 de
  la revue), elle écrivit pour nous un article, dont on croit utile de reproduire ici la partie la
  plus significative

  par Vittoria Ottolenghi
• Alvin Ailey

  L’Alvin Ailey American Dance Theater, une compagnie forgée par un
  chorégraphe unique, revient à Paris, pour «Les Étés de la Danse», et en
  tournée en Europe. La beauté, la dynamique, le rythme de ses danseurs
  sont les raisons irrésistibles d’un succès mondial ainsi que l’expression des
  valeurs les plus élevées de la danse des noirs d’Amérique

  par Alfio Agostini