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Jaquette Art brut

Art brut

  • magazine : Art Absolument
  • numero : 85 - 2018
  • date : 19 septembre 2018
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • La Chapelle de Ronchamp

    Comme un poème

    par Philippe Piguet
  • Meiji

    Modernité à la lumière des fleurs de cerisier

    par Pascale Lismonde
  • Fukami

    Voyage esthétique du nord au sud de l'archipel

    par Isabelle Charrier
  • La calligraphie de Yu-Ichi Inoue

    Œuvre plastique, œuvre de sens

    par Isabelle Charrier
  • Gutai

    En quête d'un art total

    par Philippe Piguet
  • Jacqueline Salmon

    Au pays de Misuzu Kaneko

    par Tom Laurent
  • De guerre lasse

    Avant-gardes en Europe Centrale

    par Emma Noyant
  • La Maison Rouge au firmament

    Tout le monde peut voler, il suffit
    d’y croire… Ouvrant l’exposition,
    la séquence d’introduction de
    La Dolce Vita voit Jésus prendre les
    airs, treuillé par un hélicoptère.
    Un extrait de Zone de Guillaume
    Appolinaire l’accompagne :
    « C’est le Christ qui monte au ciel
    mieux que les aviateurs. Il détient
    le record du monde pour la hauteur.
    » Dernière des 131 expositions
    de la maison rouge, ouverte en 2004
    à Paris, L’Envol, ou le rêve de voler
    exalte un désir profond de l’homme
    auquel l’aviation n’a pas mis fin
    et où se mêlent élévation mentale
    et quête de liberté. Une métaphore
    réjouissante de l’art, assurément.

    par Tom Laurent
  • Abdulqader al Rais

    Né en 1951, Abdulqader al Rais a
    vu Dubaï, l’émirat dont il est natif,
    passer du désert et de la pêche aux
    tours de verre, au pétrole et à la
    finance. Montrée dans son entier
    à l’occasion d’une rétrospective à
    l’Institut du monde arabe (IMA), la
    longévité de sa carrière de peintre
    fait écho à la mémoire bouleversée
    du cru, qui explique en partie son
    plébiscite dans l’émirat.

    par Serge Vabard
  • Levi van Veluw

    En invitant Levi van Veluw à édifier
    sa vaste installation immersive
    sur l’ensemble du premier étage
    du château de Kerguéhennec,
    Olivier Delavallade, le directeur
    des lieux, semblait faire un pas de
    côté, ayant habitué ses visiteurs à
    une programmation où les considérations
    picturales l’emportaient
    sur le reste. Et pourtant, le dédale
    conçu par le jeune artiste néerlandais
    noue des liens profonds avec
    les orientations esthétiques du
    domaine, tant il catalyse une appréhension
    physique de la sensation
    visuelle.

    par Tom Laurent
  • Le marquis Campana

    Un larron magnifique

    par Vincent Quéau
  • Les magiciens de la mort de Madagascar

    En rassemblant près de 350 pièces d’intérêt historique, esthétique et
    ethnologique, choisies parmi les 20 000 objets de ses collections malgaches,
    le musée du Quai Branly propose la plus grande exposition jamais réalisée
    sur les arts de la Grande Île mystérieuse de l’océan Indien, animant enfin les
    dessins obscurs et secrets de Madagascar.

    par Emmanuel Daydé
  • Thu-Van Tran

    « C’est par le manque qu’on dit les choses, le manque à
    vivre, le manque à voir. C’est par le manque de lumière
    qu’on dit la lumière, et par le manque à vivre qu’on
    dit la vie, le manque du désir qu’on dit le désir, le
    manque de l’amour qu’on dit l’amour ; je crois que c’est
    une règle absolue », affirmait Marguerite Duras dans
    Duras filme de Jean Mascolo et Jérôme Beaujour. Pour
    Thu-Van Tran, le manque, la disparition, l’oubli créent
    un nouveau langage. Il s’exprime comme un voyage,
    comme un passage d’un monde à l’autre. Nommée cette
    année pour le prix Marcel Duchamp, l’artiste franco-vietnamienne
    revient sur l’ensemble de son oeuvre. Un
    parcours empreint de littérature et de mélancolie, où
    les mots, autant que leur absence, restent gravés en
    mémoire. Rencontre.

    par Julie Dao Duy
  • L’épopée de Zad Moultaka

    Frappant le spectateur d’une stupeur primitive proche de l’abandon de l’esprit
    à la chair, les rituels de mort et de résurrection de Zad Moultaka chantent
    l’avenir incertain de l’homme, réveillant notre inconscient perdu dans les replis
    d’un oubli millénaire. Après la reprise de ŠamaŠ à Helsinki et les créations
    de Don’t fall à Tripoli, de Premières Nuits du temps à Nuit Blanche ou de
    Gilgamesh à Metz et Athènes, le moteur archaïque se métamorphose en
    électronique du futur. Ainsi parlait Zad Moultaka.

    par Emmanuel Daydé
  • Sarkis

    L'œuvre comme lieu d'échange et de dialogue

    par Philippe Piguet

A propos du magazine

Art Absolument
Art Absolument ART ABSOLUMENT sait que l’œuvre d’art, universelle et absolue, nous émerveille et nous interroge. C’est pourquoi ART ABSOLUMENT s’adresse à un public ouvert et curieux de la diversité de l’art en créant des passerelles entre l’art contemporain, les artistes incontournables du passé et ceux des autres civilisations. Dans chacun de ses numéros la revue consacre des dossiers aux événements et artistes incontournables. Délibérément indépendante des modes et des réseaux habituels, elle rassemble des points de vue engagés d’artistes, d’écrivains, de conservateurs de musée et de critiques désireux de rendre compte de ce qu’ils considèrent comme l’essentiel de l’actualité des expositions patrimoniales et de la création d’aujourd’hui. Elle met en lumière la pluralité des artistes français ou résidant en France quel que soit leur medium et réfléchit au rôle de l’art dans nos sociétés.

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