BRAFA
- magazine : Collect
- numero : 459 - décembre 2015
- date : 01 décembre 2015
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Marie-Françoise Plissart
Photographe et cinéaste, Marie-Françoise Plissart mène depuis plusieurs années un travail multiple
et varié qui lui confère une place de premier ordre dans le domaine, tant en Belgique qu’à l’étranger.
En cette fin d’année, elle propose au Botanique une double série inédite: l’une dédiée aux mers
du monde entier et l’autre consacrée aux arbres. Horizontalité et verticalité se conjuguent ici en un
superbe opus, délicatement décliné en noirs et blancs. Rencontre. -
Denis Gielen
Le 1er février prochain, Denis Gielen prendra la direction du MAC’s, au Grand Hornu. « Succéder à
Laurent Busine n’est pas une chose facile », avoue-t-il d’emblée. Il est vrai que Laurent Busine laisse là
une histoire, un style, un public. Autrement dit, une paternité qui semble imposer à Denis Gielen
une continuité sans rupture, même s’il se sent libre de développer de nouveaux projets. -
ADAM avale le Plasticarium
Rencontre avec le collectionneur Philippe Decelle
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Du neuf à la BRAFA
L’importance de la BRAFA, numéro un des salons d’art et d’antiquités en Belgique, ne cesse de croître
d’année en année. Malgré son âge respectable (la foire a soufflé ses 60 bougies l’an dernier), elle garde sa
fraîcheur et demeure tournée vers l’avenir. Pour la prochaine édition, elle teste une nouvelle subdivision,
avec un plus grand nombre de participants et une belle part de design, de l’art moderne et contemporain.
Par ailleurs, la foire sera particulièrement fleurie cette année : le fleuriste anversois Mark Colle en
assure, en effet, la mise en scène dans le cadre des floralies gantoises, invitées d’honneur. -
Splendeur & précision
Les pierres gravées de l’Antiquité sont collectionnées, étudiées et choyées depuis des siècles.
L’exposition ‘Splendeur & Précision’ au Rijksmuseum van Oudheden, Musée national des antiquités
de Leyde, vous permet de découvrir ces intéressants joyaux. -
Emotions eternelles
Après le décès d’Alexandre le Grand, la culture grecque dans le reste de son empire l’emporte en de
nombreux endroits. Des siècles plus tard, maints sculpteurs en tiraient encore avantage. Une exposition
de bronzes hellénistiques en témoigne de manière convaincante. -
Dessine-moi l’Amour…
Pleins feux sur le XVIIIe siècle : celui de la séduction et de la passion. Trois expositions explorent
l’inspiration amoureuse en caressant ses formes les plus généreuses... Rococos et délicieuses ! -
Le monde merveilleux du papier peint
À partir du 21 janvier, le Musée des Arts décoratifs de Paris accueille l’exposition Faire le Mur, sur
quatre siècles de papier peint. En avant-goût, examinons à la loupe le monde merveilleux du
papier peint. Longtemps considéré comme un produit ordinaire révolu, il fait à nouveau l’objet
d’une énorme popularité aujourd’hui. -
Karel Appel
Une poire pour la soif !
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Anselm Kiefer
« Enfant je voulais être Jésus, mais cela n’a pas duré, j’ai ensuite voulu être le pape. Un peu plus tard, c’était
Van Gogh », déclarait Anselm Kiefer en riant à côté de son installation totale avec une presse à imprimer
et des tournesols à Anvers. Il est devenu l’un des plus célèbres artistes allemands. Un homme
raffiné et une oeuvre complète, étonnante et florissante alors qu’il est âgé de 70 ans. -
Jesús Rafael Soto
En 2011, la famille de Jesús Rafael Soto faisait dation d’une vingtaine d’oeuvres à l’État français afin
de s’acquitter de ses droits de succession. Versées à l’inventaire du Musée national d’Art moderne /
Centre Georges Pompidou qui les exposa dans la foulée, ces oeuvres relançaient l’attrait du public,
mais aussi du marché, pour le travail de l’artiste vénézuélien. A l’occasion de la rétrospective que lui
consacre le Musée Soulages de Rodez, focus sur la cote ascendante de ce créateur ‘cinétique’. -
Miami
Les mois d’hiver constituent indubitablement la haute saison pour Miami, et ce en raison des températures
agréables et du soleil omniprésent. Qui plus est, l’abondance de salons d’art contribue à
attirer les visiteurs dans la cité balnéaire. Au lieu d’aller faire trempette à Miami Beach, l’amateur d’art
contemporain se plonge dans une nouvelle offre artistique.