De quoi Fillon est-il le nom ?

Sommaire

• Entre outrance et tempérance

  Les écrivains face aux guerres de religion

  par Loris Petris
• François Fillon

  L'homme des trois droites

  par Franz-Olivier Giesbert
• De Fillon et des catholiques

  Les aphorismes de ma
  grand-mère valent bien
  les éditoriaux de Laurent
  Joffrin

  par Marin de Viry
• Les paris économiques de François Fillon

  Le programme économique de François Fillon a fait couler
  beaucoup d’encre depuis que son auteur a remporté
  le second tour de la primaire de la droite.

  par Annick Steta
• La droite sans le peuple

  Entre les deux tours de la primaire organisée en France
  les 20 et 27 novembre 2016 pour désigner un candidat
  commun de la droite et du centre à l’élection présidentielle
  de 2017, un sondage Elabe publié par BFM TV
  mardi 22 novembre révélait que la part des personnes
  âgées de plus de 65 ans ayant participé au scrutin s’élevait à 39 %.

  par Sébastien Lapaque
• La révolution Luther

  Quel homme et quel destin ! Seul, Martin Luther a mis
  à genoux l’Église catholique, qui régnait depuis des
  siècles sur le spirituel et dans une large mesure sur le
  temporel.

  par Eryck de Rubercy
• Tuer et mourir au nom de Dieu au temps des guerres de religion par Nicolas Le Roux
• La mémoire de la Saint-Barthélémy

  De Voltaire à Marie-Joseph Chénier

  par Michel Delon
• Naissance du protestantisme en Bretagne

  Quand dans une Église un schisme se produit on se
  reporte tout naturellement aux origines. Pour la
  Réforme : Luther et Calvin. Chacun sait que l’imprimerie
  a joué un rôle considérable dans l’extension
  des traductions de Luther, alors que la papauté donnait
  l’exemple de scandales à répétition.

  par Jean Paul Clément
• Rémi Brague

  "Nos société ne prennent pas la religion au sérieux"

  par Valérie Toranian
• Les guerres de religion entre fin des temps et théâtre de la cruauté par Denis Crouzet
• Ceci n’est pas religieux

  Un jour, en regardant dans une lunette astronomique,
  Galilée a vu des étoiles qui n’étaient pas
  dans les livres. Malgré cette évidence, certains ont
  refusé d’admettre cette réalité pour lui préférer les
  auteurs anciens, tenus pour des autorités détenant
  la vérité du monde. La tradition avait pour elle de rassurer alors que le
  vide des grands espaces infinis inquiétait.

  par Jean-Marie Le Gall
• Un trop grand désir d’être aimée

  L’auteure de l’Autre qu’on adorait (Gallimard) raconte comment, à la
  recherche d’une colocataire dans une ville universitaire américaine, elle a
  fait la connaissance de « l’ange Meredith » qui l’a rendue meilleure.

  par Catherine Cusset
• Écrivez-moi des cartes postales

  Aujourd'hui et toujours

  par Sébastien Lapaque
• Genet se fait la belle

  À l’image de Paris, la littérature française possède
  sa rue des mauvais garçons. Discrète au temps de
  François Villon et des libertins, et même de ceux
  que Robert Darnton a baptisé les « Rousseau du
  ruisseau », elle s’élargit sous les frénétiques de
  1830, entraînés par Gérard de Nerval et Pétrus Borel qui tâtèrent de
  la prison et firent, un siècle avant Jean Genet (1910-1986), des vers
  sous les fers.

  par Stéphane Guégan