Django Unchained
- magazine : Les Fiches du Cinéma
- numero : 2036 - 2013
- date : 03 janvier 2013
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Faire quelque chose
Pour son troisième documentaire, Vicnent Goubet a choisi de s'intéresser à la Seconde Guerre mondiale, et plus particulièrement à la Résistance.
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Foxfire
En 1955, des ados américaines de la classe populaire se rebellent contre les humiliations qu’elles subissent en créant une société secrète. Après sa Palme d’Or, Laurent Cantet fait preuve d’énergie, mais profite-t-il pleinement de cette liberté artistique ?
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Hot hot hot
Un homme introverti s'ouvre au contact d'un sauna et de ses employés. Film doucement délirant, Hot hot hot offre, malgré les écueils d'un scénario rebattu, un univers, une ambiance et des personnages pleins de vie et d'originalité.
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Mon père va me tuer
Daniele Cipri continue d'explorer un terrain aussi original qu'incertain: la tragédie grotesque, qui essaie d'alléger une trame sociale des plus sombres par un traitement caricatural et maniéré des personnages. Le film distrait mais n'émeut pas/
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Renoir
En 1915, Andrée entre dans la vie d'Auguste Renoir, peintre veillissant, et de son fils Jean, blessé de guerre et futur cinéaste. Bourdos propose un portrait croisé qui ne manque pas de charme, porté une belle photographie et la puissance de V. Rottiers.
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Yossi
Yossi, cardiologue, ne s'est jamais remis de la mort de son compagnon, jusqu'à ce qu'une rencontre bouleverse à nouveau sa vie. Toujour sauss pesant et démonstratif, E.Fox nous assène un roman-photo sirupeux, à peine sauvé par son interprète principal.
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The master
Avec cette confrontation entre gourou et un homme à la dérive, Paul Thomas Anderson creuse ses obsessins et confirme sa maitrise. Mais, en imposant un contrôle total sur un film dont le thème est la perte de contrôle, il laisse souvent la flamboyance prendre le pas sur l'émotion.
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La vérité qui blesse
Rencontre avec Ulrich Seidl
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Django unchained
Dj Tarantino remixe western spaghetti et traite des Noirs. Son morceau, d'une redoutable modernité élégiaque, envoie en enfer les esclavagistes américains et leurs descendants. Si Django donne la foi, Tarantino, lui, fait croire aux pouvoirs du cinéma.