Presse
Jaquette Françoise Lison-Leroy

Françoise Lison-Leroy

  • magazine : Traversées
  • numero : 58 - 2010
  • date : 01 mai 2010
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • De nuit

    Le vent nous coiffait le pelage on entendait penser les crânes très loin des os c’était bien avant le désastre

    par Françoise Lison-Leroy
  • Pas une vie

    On n’aurait jamais dû casser l’alphabet. On aurait dû faire attention. Il faut toujours penser à ceux qui suivent. On leur laisse un monde sans lettres, sans mots, sans pages.

    par Françoise Lison-Leroy
  • Questions - réponses entre Véronique Daine et Françoise Lison-Leroy par Françoise Lison-Leroy , Véronique Daine
  • Clin d’oeil à Françoise Lison-Leroy

    Cela fait belle lurette que cette luronne arpente les terres poétiques avec son regard affûté, sa démarche garçonnière, son allant et la main toujours tendue.

    par Colette Nys-Mazure
  • En lisant Françoise Lison-Leroy

    Difficile en quelques lignes de défricher une œuvre aussi dense et variée que celle de Françoise Lison-Leroy : recueils de poèmes, bien sûr, mais aussi nouvelles, théâtre, ouvrages à quatre mains... Par où l’attraper ?

    par Paul Mathieu
  • Une lecture de “Lettre barrée” de Françoise Lison-Leroy

    Pour ceux qui croiraient encore que la poésie de Françoise Lison-Leroy est une poésie gentillette et d’enfant sage, le ton est donné dès l’ouverture : peur peur peur // il faut me mettre en berne / border ma détresse à grands bras.

    par Véronique Daine
  • Petites notes au bord des mots

    Le poème, un silence en nous qui grandit, pèse parfois jusqu’à la douleur, cherche des mots, non d’abord pour trouver une expression, mais pour se déployer, s’alléger au dehors, dans un espace qui s’ouvre et ne se referme pas.

    par Philippe Mathy
  • Pour une syntaxe du désir chez Bernard Noël

    «Tout commence / par une fin / mince / limite / ô si fine si ténue si légère si étroite si / menue si cachée si interne si dérobée si / scellée »1 écrit Bernard Noël.

    par Jalel El Gharbi
  • Jean Rouaud - “La femme promise”

    Lorsqu’il obtient, en 1990, le prix Goncourt pour son premier roman Les champs d’honneur, Jean Rouaud crée une véritable sensation. D’abord, c’est un premier roman, et il est rare que les jurés de ce prix prestigieux couronnent un premier essai.

    par Georges Jacquemin
  • A la rencontre d’Albert Strickler

    La poésie a le vent en poupe, profitons-en. Après le « revival » de Keats (grâce au film Bright Star) dont les odes ont été traduites par Alain Suied, la remise au goût du jour de Flannery O’Connor et Emily Dickinson, accueillons le printemps avec Albert Strickler, le chantre du « Rien somptueux ».

    par Nathalie Doyen

A propos du magazine

Traversées
Traversées TRAVERSEES symbolise le passage d'une rive à l'autre, imaginaire ou non. Lorsque l'on écrit, lorsque l'on dessine, c'est bien sûr d'abord pour soi, mais surtout pour communiquer avec d'autres. Donc, Traversées est censée encourager cette relation. En plus du parfait inconnu, des figures notoires qui sont des "locomotives". La revue a prouvé, en 60 numéros parus à ce jour, que beaucoup de créateurs confirmés peuvent lui faire confiance. Les textes reçus sont scrupuleusement classés et - surtout - lus par un Comité de lecture (qui faisait aussi office de Comité de rédaction). Sa composition en a été modifiée au cours des années. Traversées ne se veut pas une revue à caractère régionaliste, mais est ouverte à tous les courants de pensée, à tous les horizons littéraires, tout en respectant la bienséance. On peut recenser des collaborateurs non seulement dans toute la Belgique, non seulement en Europe, mais même dans le monde entier. Si vous cherchez un quelconque fil conducteur à la revue, vous n'en trouverez pas. Les responsables de la revue recherchent davantage la variété, la diversité tant des idées que des sujets. Chaque numéro est découpé en trois parties : le dossier ; les textes d’auteurs ; les chroniques. De temps à autre, quelques illustrations agrémentent les pages de la revue.

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