Hors-série danse
- magazine : La Terrasse
- numero : 263 - 2018
- date : 01 avril 2018
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Développer la visibilité de la danse
Daniel Favier, directeur de La Briqueterie, CDCN du Val-de-Marne,
mesure les atouts du nouveau label national. -
Le Ballet de Lorraine célèbre ses 50 ans
Le Ballet de Lorraine fête son jubilé ! L’occasion pour son directeur
de revenir sur l’importance d’une politique publique au long cours. -
Jann Gallois
La danse, une musique
qui se regarde -
Périclès, Prince de Tyr
Le metteur en scène Declan Donnellan revient cette saison aux
Gémeaux avec une nouvelle création co-produite par la Scène
Nationale : Périclès, Prince de Tyr. La pièce, l’une des plus
merveilleuses de Shakespeare, trouve son motif dans la puissance
de renouvellement de l’amour. -
Lionel Massétat
Festival Rencontres InCité
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La Double Inconstance (ou presque)
De Marivaux, il avait mis en scène La Fausse Suivante en 1981 et
Arlequin poli par l’amour en 2001. Aujourd’hui, Jean-Michel
Rabeux fait jaillir toute la densité contemporaine de La Double
Inconstance. Magnifique. -
White Dog
Deux ans après R.A.G.E., la compagnie Les Anges au Plafond
explore à nouveau l’humanisme de Romain Gary en portant à la
scène White Dog. Un théâtre politique où le jeu marionnettique
interroge avec talent la question de la haine raciale. -
La Femme rompue
Dirigée par Hélène Fillières, Josiane Balasko offre une
interprétation sans concession du monologue misanthropique et
atrabilaire de Murielle, qui choisit la vindicte comme masque du
désespoir. -
Un mois à la campagne
Avant l’arrivée d’un jeune précepteur, la vie était paisible chez les
Islaïev. Le temps d’un mois d’été, les élans de l’amour vont brouiller
cette quiétude… Créée le 8 janvier dernier au Théâtre Montansier
à Versailles, la mise en scène d’Un mois à la campagne signée
Alain Françon – dans une nouvelle traduction* de Michel Vinaver –
est reprise au Théâtre Déjazet -
Regard critique sur la représentation des corps
De À mon seul désir à Lascaux, Gaëlle Bourges ne cesse
d’interroger l’histoire de l’art. Elle a créé il y a un an Conjurer la
peur, inspiré d’une fresque du xive siècle d’Ambrogio Lorenzetti :
Des effets du bon et du mauvais gouvernement. Elle interroge au
fil de son travail la portée politique de la représentation des corps.