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La fleur en Iran

  • magazine : La Revue de Téhéran
  • numero : 44 - 2009
  • date : 01 juillet 2009
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Mahallât, capitale iranienne de la culture florale

    La ville de Mahallât est située dans le sud de la province de Markazi en Iran, à 262 km de Téhéran. Outre son statut de centre historique rassemblant de nombreux monuments notamment des forteresses, mosquées et caravansérails des différentes périodes historiques iraniennes, elle est également réputée au niveau national pour ses jardins et serres où sont cultivées de multiples variétés de fleurs.

    par Sarah Mirdâmâdi
  • La tulipe renversée

    Chaque année au printemps, des milliers de touristes se rendent à Fârsân, dans la province de Tchahâr Mahâl va Bakhtiâri, pour admirer les tulipes renversées qui fleurissent dans cette région.

    par Djamileh Zia
  • Le champ des tulipes renversées de Tchelguerd

    Dans la région de Kouhrang, à 12 kilomètres de Tchelguerd, l’une des principales attractions naturelles de la province de Tchahâr Mahal va Bakhtiâri est un vaste champ de tulipes renversées rouges et jaunes s’étendant sur plus de 3 400 hectares.

    par Khadidjeh Nâderi Beni
  • Le safran, une fleur du plateau iranien

    La rose n’est pas la seule fleur que les Iraniens cultivent et utilisent en cuisine ; le safran, obtenu à partir d’une fleur du même nom, est un condiment utilisé depuis des millénaires en Iran pour sa couleur, son goût et pour ses propriétés thérapeutiques.

    par Djamileh Zia
  • Les jardins historiques iraniens

    Les anciens jardins iraniens, de par leur valeur esthétique et architecturale, font partie du patrimoine national et sont considérés comme des marques de l’identité historique et culturelle iranienne.

    par Mahnâz Rezaï
  • Festival de la tulipe sur les pentes de l’Alborz

    Depuis onze ans, le festival de la tulipe, organisé par des horticulteurs locaux et la municipalité de Téhéran, a lieu chaque printemps pendant une semaine à Garmâb. Cette année, sa onzième édition a débuté le 15 Ordibehesht (5 mai).

    par Mireille Ferreira
  • La fleur dans la mystique persane à travers l’œuvre de Mowlânâ et de Hâfez

    La fleur occupe une place centrale dans l’ensemble de la littérature persane, notamment dans la littérature mystique comme l’attestent le titre de certains grands traités tels que le Golshan-e Râz (La Roseraie du Mystère) de Shabestari, ’Abhar al-’Asheqin (Le jasmin des Fidèles d’Amour) de Rouzbehân Baqli Shirâzi ou encore le célèbre Golestân (Jardin des roses) de Saadi.

    par Sarah Mirdâmâdi
  • La diversité des pratiques artisanales iraniennes

    On appelle arts traditionnels, l’ensemble des pratiques artistiques, authentiques et populaires des indigènes d’un pays. Ces arts proviennent des croyances, des traditions et des mœurs, bref de la culture intangible, d’une société.

    par Afsâneh Pourmazâheri , Farzâneh Pourmazâheri
  • L’histoire de la littérature persane

    Du début du Xe siècle jusqu’à la moitié du XIe siècle

    par Mahnâz Rezaï

A propos du magazine

La Revue de Téhéran
La Revue de Téhéran LA REVUE DE TEHERAN est le seul magazine iranien en langue française visant à faire connaître et à approfondir certains aspects historiques, philosophiques, ou sociaux de la culture iranienne. La Revue de Téhéran traite également de la littérature et aborde certains grands débats sociopolitiques iraniens et français actuels. Le but de cette revue est non seulement de faire connaître davantage les multiples richesses de l’Iran, mais également de favoriser la recherche comparée sur des thèmes communs à ces deux cultures, et à ouvrir de nouveaux domaines d’études et de coopération entre l’Iran et la France.

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