Presse
Jaquette L’année cinéma 2021

L’année cinéma 2021

  • magazine : 24 images
  • numero : 201 - 2022
  • date : 11 janvier 2022
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Le cinéma québécois en 2021

    Quels films ont retenu notre attention cette année? Quelles visions du monde et du Québec en ressortent? Discussion autour des tendances et enjeux actuels de notre cinéma.

    par Bruno Dequen , Robert Daudelin , Gérard Grugeau
  • Les séries télé québécoises en 2021

    L’appel entendu de la diversité

    par Pierre Barrette
  • Emilie Serri

    Damascus Dreams: une famille élargie

    par Samy Benammar
  • Hygiène sociale

    De Denis Côté

    par Gérard Grugeau
  • Le cinéma virtuel

    États des lieux d’une industrie en adaptation forcée

    par Bruno Dequen , Ariel Esteban Cayer , Damien Detcheberry
  • Un pays qui se tient sage

    De David Dufresne

    par Robert Daudelin
  • Les séries en 2021

    L’année de toutes les incertitudes

    par Marta Boni
  • Ryusuke Hamaguchi

    Le théâtre d’une vie

    par Ariel Esteban Cayer
  • De corps et d’âme

    L’héritage de Dreyer en 2021

    par Carlos Solano
  • Annette de Leos Carax

    Pour Carax, le cinéma a toujours été la promesse d’un monde où habiter. Aujourd’hui, après la limousine tombeau de Holy Motors qui parcourait la ville dans un siècle détra- qué où l’idée même de l’art semblait en perdition, c’est au tour de la musique de servir d’écrin au dialogue que le cinéaste instaure de film en film entre le monde des vivants et celui des morts.

    par Gérard Grugeau
  • La Traversée de Florence Miailhe

    Le cinéma de Florence Miailhe est un cinéma des matières et des textures. Depuis son premier court métrage, Hammam en 1991, elle met en scène des corps ordinaires, violentés ou érotiques, à la fois légers et volatils mais pesants, profondément ancrés dans ses images.

    par Nicolas Thys
  • Memoria de Apichatpong Weerasethakul

    À la fin de Cemetery of Splendour, Jen (Jenjira Pomgpas) ouvrait grand les yeux devant un tas de ruines. Le film s’achevait ainsi, par l’image d’une flagrante sidération, sorte d’éveil démesuré opposé à l’étrange endormissement collectif des militaires.

    par Carlos Solano
  • France de Bruno Dumont

    Bruno Dumont nous surprendra toujours, autant par son statut de cinéaste qui, entre films d’avant-garde et films dramatiques, se joue des règles narratives, que par son choix de propositions esthétiques très diverses et même opposées (entre La vie de Jésus, 1997, et Le P’tit Quinquin, 2014, par exemple).

    par André Roy
  • Bad Luck Banging or Loony Porn de Radu Jude

    Parmi les cinéastes de la nouvelle vague du cinéma roumain, Radu Jude constitue une exception à plusieurs égards : il est le plus jeune, le plus prolifique et le seul à ne pas avoir fréquenté une école de cinéma. Il est aussi le seul à alterner courts et longs métrages et à les investir d’une valeur égale, le seul à explorer différents langages ciné- matographiques allant du réalisme au montage et de la fiction au documentaire.

    par Monica Haim
  • Benedetta de Paul Verhoeven

    Jésus de Nazareth est à Paul Verhoeven ce que Napoléon fut à Stanley Kubrick. Le grand film rêvé, l’aboutissement logique de son regard sur le monde. Depuis plus de 30 ans, le provocateur néerlandais, dont les films regorgent d’imagerie chrétienne, rassemble ses réflexions et participe à des séminaires autour de la figure du Christ.

    par Bruno Dequen

A propos du magazine

24 images
24 images 24 IMAGES a su s'imposer comme un acteur indispensable de la vie cinématographique québécoise. Au fil des années, 24 IMAGES a contribué à faire découvrir des cinéastes inconnus de la plus grande part du public, soit parce qu'ils en étaient à leurs premiers films, soit en raison de la singularité de leur démarche (Robert Morin, Céline Baril, Tahani Rached, Catherine Martin, Arto Paragamian, Jeanne Crépeau, Lucie Lambert, Don McWilliams, François Delisle, Rodrigue Jean et beaucoup d'autres). 30 ans de présence solide et incontestée dans le paysage médiatique québécois qui nous ont permis de constater que l'histoire de la revue, et l'évolution de nos choix et de nos prises de position, ont toujours été intrinsèquement liées aux transformations du paysage cinématographique mondial, mais d'abord et avant tout à celles de notre propre cinéma dont nous avons toujours été les témoins attentifs et engagés.

Dans la même catégorie