Les jeunes acteurs du numérique Algérien
- magazine : AlgerParis
- numero : 18 - 2017
- date : 01 janvier 2017
- catégorie : Monde & société
Sommaire
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De Barack Obama à Donald Trump
Le prix Nobel de la paix a
été décerné à Barack
Obama en 2009. Un prix
peut-être prématuré,
qui a surtout récompensé des promesses
et non des actions. Le premier
président noir des États-Unis
avait été élu en 2008 pour mettre fin
aux deux guerres, en Irak et en
Afghanistan, dans lesquelles son
prédécesseur avait entraîné le pays.
Un engagement en partie rempli. Les
États-Unis restent en effet présents
au Moyen-Orient, dans les airs et au
sol avec les forces spéciales, tandis
que l’usage des drones pour des
assassinats ciblés de terroristes n’a
jamais été aussi développé. -
Grand entretien
Rencontre avec Gilbert
Grandguillaume, anthropologue
et sociolinguiste spécialiste
du Maghreb et du Monde arabe,
sur le phénomène de
l’arabisation en Algérie. -
Où en est le numérique en Algérie ?
Les initiatives se multiplient dans l’Algérie
numérique à l’initiative de jeunes créateurs,
de start-ups et de grandes entreprises.
Espaces de co-working, pépinières, incubateurs
et accélérateurs de start-ups, créations
d’applications mobiles pleines d’imagination,
benchmarking international et contacts via
les salons et compétitions : une formidable
poussée à la base. Mais l’environnement
général du numérique reste encore à la traîne,
avec trop de freins administratifs et des effets
d’annonces sans lendemain. -
Sur le terrain, dans les initiatives de plus en plus nombreuses
Espace de co-working, start-ups, applications
mobiles : c’est par la floraison des acteurs
de base que l’Algérie s’inscrit dans l’ère du digital.
L’écosystème du pays se construit, doucement,
et souvent grâce à des initiatives privées. -
Le cluster, outil de dialogue avec les pouvoirs publics
Mehdi OMAROUAYACHE, lui-même entrepreneur du numérique
(Issal Flexcloud), est président du 1er cluster numérique algérien.
Son but : expliquer aux ministères et aux administrations les besoins
des entreprises de terrain, être un think tank et un facilitateur
à l’international pour la soixantaine d’entreprises qui
en sont membres. -
Raouti Chehih à la conquête du numérique européen
Depuis 2009, EuraTechnologies réunit dans un même espace
des entreprises de la filière du numérique et des technologies
de l’information et de la communication. Les 150 000 m2 de ce parc
d’activités lillois accueillent des entreprises aux métiers
complémentaires : e-business et pure players, éditeurs de logiciels,
concepteurs de systèmes d’information, industries de contenus,
réseaux et télécoms, centres de formation et de recherche.
Entretien avec le directeur général de ce fer de lance de l’économie
numérique Raouti Chehih. -
L’Afrique veut s’affirmer comme une zone économique mieux intégrée
Plusieurs événements – le « Rendez-vous d’Alger » consacré
aux questions d’investissements et de développement, et la COP22
de Marrakech dédiée aux négociations climatiques – ont manifesté
une nouvelle volonté africaine de s’imposer comme une des grandes
zones économiques de la Planète. Cette volonté devrait s’exprimer
de nouveau sur le plan politique au prochain sommet de l’Union
africaine, en janvier 2017, à Addis-Abeba. -
La ruée vers l’or bleu
Avec la concentration de la population dans des mégapoles,
les questions liées à l’assainissement et à la distribution équitable
de l’eau dans les villes deviennent essentielles. S’il est possible
de trouver des solutions de substitution en matière d’énergies, l’eau,
elle, est irremplaçable. Une ville qui manque d’eau est une ville qui
ne peut pas se développer durablement. Agir pour un développement
durable de la ville, c’est donc en partie parvenir à ce que chaque
citoyen ait un accès à une eau domestique. La course vers
ce que certains ont déjà appelé l’ « or bleu » a commencé… -
Sommet de la francophonie
Même si le sommet n’a pas été exempt de ratés, les autorités malgaches peuvent
être fières. Le XVIe sommet de la Francophonie s’est bel et bien tenu à Antanarivo
du 22 au 27 novembre, alors que le doute persistait dans nombre d’esprits jusque
dans les dernières semaines sur l’avancée des préparatifs et les garanties de sécurité
permettant à l’île d’accueillir le sommet. Et il s’est tenu sans incident. Pour autant, seuls
une vingtaine de chefs d’État et de gouvernement étaient présents, sur les 80 membres
de l’Organisation internationale de la Francophonie, qui compte quatre nouveaux pays. -
L’inattendue Michaëlle Jean
« Reine de la francophonie » pour certains, « brave fille »
pour d’autres, femme de combat, audacieuse, pétillante, vive,
charmeuse pour ceux qui la soutiennent, Michaëlle Jean,
nouvelle Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale
de la Francophonie (OIF) ne laisse personne indifférent.