Les musiques afghanes

Sommaire

• Quand les agressions sexistes et sexuelles s’invitent à l’opéra

  Lancée en 2020, quelques mois avant les révélations faites par la chanteuse Chloé Briot, une enquête sur les violences sexistes et sexuelles à l’opéra s’apprête à
  voir ses résultats publiés dans une revue scientifique. Une première investigation menée par une chanteuse lyrique et deux chercheuses en sociologie, qui met en lumière un problème systémique de violences de genre. Quand un détour par les coulisses révèle des violences qu’il est urgent de dénoncer.

  par Emmanuelle Bordon
• Matthieu Rietzler

  "Des risques spécifiques attachés au statut d’artiste lyrique"

  par Emmanuelle Bordon
• Musiques afghanes : à la croisée des civilisations

  Situé entre l’Iran à l’ouest, le Pakistan et l’Inde au sud et à l’est, le Turkménistan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan au
  nord, l’Afghanistan est à la croisée des civilisations. Entre le proche Orient
  et l’Asie, sa culture s’inspire de toutes celles qui l’entourent.

• Les instruments de la musique afghane

  Au 19e siècle de nombreux instruments de musique étrangers ont été introduits dans la tradition musicale afghane. Avant cela, des instruments en tout genre constituaient le riche paysage musical afghan. La plupart étaient confectionnés à partir de peaux de bêtes. Mettons en perspective quelques indispensables qui font vibrer la musique afghane aujourd’hui.

  par Marwan Nabli
• La Monnaie, un bijou au cœur de l’Europe

  Vu de l’extérieur, le théâtre semble assez petit. On peut même, dans ce quartier du centre de Bruxelles, où se trouvent de nombreux bâtiments monumentaux, ne pas vraiment remarquer cette façade à colonnes. Mais ne vous y fiez pas. C’est tout un monde qui vit derrière
  elle. Théâtre à l’italienne, agrandi, incendié puis reconstruit, la Monnaie a une histoire. Mais c’est aussi une maison d’opéra connue aujourd’hui pour ses créations, ses mises en scène contemporaines, son activité foisonnante. De la scène aux ateliers, en route pour la visite.

  par Emmanuelle Bordon