Mauvaise langue
- magazine : Ventilo
- numero : 215 - 2008
- date : 01 février 2008
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Eva Doumbia
Travaillant entre la France et l’Afrique de l’Ouest, la metteuse en scène de la compagnie La Part
du Pauvre propose une série de spectacles inaliénables d’une réflexion politique sur l’identité et le phénomène des migrations. Où un discours radical se superpose sans complexes à la démarche artistique. Rencontre. -
Macadam à deux voix
(USA - 1971) de Monte Hellman (Carlotta)
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Points de vue, images du monde
Une petite sélection d'oeuvres réalisées par Sophie Ristelhuber nous donne un aperçu bref mais intense de son travail, qui interroge les conditions sous lesquelles le monde se donne à voir et à dire.
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Angoisse(s)
PEUR(S) DU NOIR - Animation (France - 1h30) de Blutch, Charles Burns avec les voix d'Aure Atika, Arthur H…
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La baleine flanche
CAPITAINE ACHAB (France - 1h40) de Philippe Ramos avec Denis Lavant, Dominique Blanc, Jean-François Stévenin...
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La guerre des sexes n’aura pas lieu
NOTRE UNIVERS IMPITOYABLE (France - 1h27) de Léa Fazer avec Alice Taglioni, Jocelyn Quivrin, Thierry Lhermitte…
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BUCK 65 + THE SWEET VANDALS + NARROW TERENCE
Très prisé par le public français, et d'ailleurs ré-installé à Paris depuis peu, Buck 65 est de retour avec un nouvel album et la rituelle tournée qui en découle. La dernière fois, en octobre 2005 au Moulin, le transfuge de l'écurie Anticon avait livré une prestation très théâtrale, en écho à ses aspirations du moment : « J'aspire à m'imposer en tant que songwriter, à trouver une crédibilité en dehors du milieu hip-hop » (in Ventilo #135). Si ce quatrième opus est toujours nourri de ces racines lointaines qui forgent au fil du temps cette tradition orale typiquement américaine, il voit surtout le blanc-bec enfiler à nouveau sa casquette de b-boy alternatif : les fans devraient être aux anges. Mais la soirée ne s'arrête pas là : les Sweet Vandals, de Barcelone, se posent comme une excellente alternative soul/funk à Sharon Jones & The Dap Kings, et Narrow Terence comme une vraie révélation locale.
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Une île
Texte et mise en scène de François Cervantes