Presse
Jaquette Numéro 245

Numéro 245

  • magazine : Ventilo
  • numero : 245 - 2009
  • date : 21 juin 2009
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • L’évènement - Supplément d’Am

    Changement d’appellation, d’image et d’espace-temps. Nouvelle chimie, un peu précipitée… Le Festival de Marseille, dirigé depuis seize ans par l’élégante Apolline Quintrand, a dû changer géographiquement son fusil d’épaule, mais pas sa visée.

    par Joanna Selvidès
  • Sur les planches - La science des rêves

    Les rêves rendent la vie plus douce. C'est ce que veulent nous prouver les neufs acrobates du Cirque Désaccordé dans un show où se mêlent musique, burlesque et merveilleux.

    par Yves Bouyx
  • Musique - contre nature

    C'est une catastrophe, un changement subi(t) de situation. Deux jours avant le début de la troisième édition du festival Seconde Nature, la décision du tribunal d'Aix tombe: il n'y aura pas d'édition 2009.

    par Joanna Selvidès
  • Expos - Tri sélectif

    L’exposition Blaine au [mac] : un Tri retrace avec pertinence le parcours foisonnant de l’artiste en montrant les liens intimes qu’il a noués et noue encore entre sa vie et son art comme engagement quotidien et surtout les passerelles créées entre la poésie — point de départ de sa création — et les arts visuels.

    par Elodie Guida

A propos du magazine

Ventilo
Ventilo VENTILO plaide pour une culture vivante et novatrice ainsi qu'une société ouverte. Il défend son engagement avec humour et ironie dans un grand esprit d'indépendance, soutenant les initiatives qui tentent de faire évoluer Marseille dans le bon sens. VENTILO s’adresse à tous ceux qui, y compris de passage, sont en recherche d’informations sur les sorties et activités culturelles dans les Bouches-du-Rhône et la Région PACA. Le magazine possède une identité visuelle forte. Pour chaque numéro, la couverture est réalisée par un graphiste, photographe ou designer. Ventilo s’inscrit dans une démarche équitable. Quand d’autres gratuits délocalisent la production, Ventilo s’investit dans l’économie locale. Il est le seul gratuit de son secteur toujours imprimé à Marseille et utilise du papier recyclé de fabrication française. Les ‘‘invendus’’ sont récupérés et recyclés.

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