Un peu de folk avec le premier album prometteur de Logar, A year in a life, et Sweet Thursday de David-Ivar, aka Herman Dune, inspiré par le roman éponyme de John Steinbeck.

On reste au calme avec le magnifique et envoûtant album In a time lapse du compositeur italien Ludovico Einaudi, ou l’électro tout aussi minimaliste et hypnotique de Nicolas Jaar dans Space is only noise.

On continue avec l’EP L’habitude, douce pop d’Alexia Gredy sous la production de Baxter Dury.

On aime aussi le mélange de blues et de rock du duo Heymoonshaker. Andy Balcon au chant et à la guitare accompagne un maître du human beatbox, Dave Crowe, pour un album rugueux et efficace.

On reste dans le rock avec Empires of shame de Frustration. Troisième album seulement de ce groupe post-punk/new-wave français qui tourne depuis pourtant bientôt quinze ans chez l’excellent label Born Bad Records.

On bouge aussi sur 2 albums psychédéliques :
Amanda Dakota, cocktail jazz détonnant de la « révélation de l’année » aux Victoires du jazz 2017, Théo Ceccaldi, et sa formation FREAKS. Un album fou, libre et enfiévré.
Avec On, c’est Altin Gün qui nous fait revivre la scène pop-rock stambouliote des années 60-70 et nous donne assurément envie de danser.

On finit enfin avec The invisible man, album hommage à Dr. Dre magnifiquement orchestré par le producteur et multi-instrumentiste Sly5thAve. Un disque né d’un concert caritatif donné en 2015 pour financer la construction d’une école de musique à Compton, quartier historique du hip-hop californien.