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  • Nuits Nantaises - L'intégrale

Nuits Nantaises - L'intégrale

Description

La tétralogie des Nuits nantaises est constituée d'intrigues policières autonomes se déroulant à Nantes dans les années 70, 80, 90 et 2000.

Carl Pineau réveille avec brio l’esprit et l’ambiance de ces quatre curieuses décennies. La nostalgie est toujours ce qu’elle était, et tant mieux !

Greg Brandt : 1976. Un braquage particulièrement sanglant met Nantes en émoi, les truands ont abattu deux convoyeurs... Greg Brandt, jeune inspecteur, est chargé de l’enquête. Une formidable virée dans les années 70 : on fume et on boit en parfaite insouciance, on roule en 4L, en R16 ou en 304 sans ceinture de sécurité ni rétroviseurs extérieurs, la Brigade des Stups n’existe pas, VGE est président de la République !

L'Arménien : 1989. Le cadavre de Luc Kazian, dit l’Arménien, est retrouvé à demi-calciné. Qui a commis cet assassinat ? Et qui était vraiment l’Arménien ? Un trafiquant de cocaïne, comme le pense Greg Brandt ? Un comparse parfait pour écumer les bars et draguer les filles, comme le voit Bertrand, son premier et peut-être unique ami ? Ou bien un orphelin perturbé, comme le décrit la psychiatre qui le suivait depuis 20 ans ?

Le Sicilien : 1995. Une jeune Albanaise est assassinée. Dario, gérant de discothèque d’origine sicilienne, fait figure de principal suspect : on a retrouvé le cadavre dans le coffre de sa voiture ! Greg Brandt, policier madré, est chargé de l’enquête et dresse une liste bien plus étoffée de coupables potentiels, au premier rang de laquelle on trouve quelques mafieux fraîchement débarqués d’Europe de l’Est, des notables aux curieuses fréquentations, des truands locaux et quelques hommes de main russes...

Le Nantais : À l’aube des années 2000. Greg Brandt, désormais à la retraite, s’occupe de sortir des drogués de l’enfer... Sa mission dérange les dealers, le milieu nantais et certains cadres de la Crim. Les proches de l’ancien flic sont attaqués, une jeune policière est assassinée, soixante-dix kilos d’héroïne sont volés au 36, quai des Orfèvres...

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