Addictions
- magazine : Inter
- numero : 123 - 2016
- date : 19 avril 2016
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Écriture, biologie, technologie
Vers une mémoire étendue
- Malconsommation
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Usages, intoxication et inclusions d’une corporéité sociale
Un survol des pratiques d'art action des années soixante-dix
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Addictions
Drogue, création, conscience augmentée
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Du chimique au virtuel
La science-fiction de l'esprit
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Hypothèses de désœuvrement
En 1996, au mois de mai, Francis Alÿs est invité
dans la métropole de Copenhague (Danemark),
dans le cadre d’une exposition collective. Il entend
y poursuivre sa pratique de déambulations et
autres pérégrinations afin de « faire usage » de
sa propre constitution pour « programmer son
errance » et tester sa résistance à toutes sortes de
substances illicites. Alÿs réalise Narcotourismo,
véritable exercice de désoeuvrement, dont le
protocole est le suivant : Je marcherai dans la ville
pendant sept jours, chaque jour sous l’influence
d’une drogue différente. Mon périple sera
enregistré à l’aide de photographies, de notes ou
de tout autre médium qui paraîtra justifié. -
L’artiste, la matière, l’idée
Un itinéraire discursif et des pratiques
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Sortilèges, drogues et contrôle des dommages
Phénoménologie, pharmaceutique et catharsis
dans mes performances de 1976 à 1992 -
Death of a hippie
Paul Thek, artiste de la côte ouest-américaine, est reconnu comme précurseur de l’installation. Il s’est d’abord fait connaître en exposant dans des boîtes en plexiglas des sculptures de cire figurant des morceaux de viande ou des parties du corps humain. The Tomb, une installation réalisée en 1967, présente une effigie pleine grandeur de lui-même (son cadavre simulé, langue visible, main coupée) étendue entouré de divers objets dans un caveau, une sorte de petite pyramide à degrés rappelant une ziggourat. L’installation a été présentée en 1967, à la Stable Gallery de New York, sous un éclairage rose et, en 1968, à l’Institute of Contemporary Art de Londres sous le titre Death of a Hippie.
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Le dernier mitote
Tante Peyotle, Saint Peyotito, plante Dieu, plante
Déesse, peyotl, peyote… Je t’ai déjà mangé, tu es
déjà à l’intérieur de moi. Je te rencontre en dedans.
Mes yeux sont fermés, mais il y a beaucoup de
lumière à l’intérieur. Je continue d’avancer, mais je
ne peux ni marcher ni voler : je glisse. -
Antoine d’Agata
Les règles de la drogue et la pratique de la photographie chez Antoine d'Agata
- Le ventre de l’artiste gastro-performance
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Le peuple du poème
Hallucinogènes, excréments et animaux particuliers
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Plantes hallucinogènes
De l'usage de quelques plantes hallucinogènes chez les voyageurs, les écriavains, les artistes et les médecins
- La période hippie de Witkacy