Banlieues
- magazine : Jeu
- numero : 163 - 2017
- date : 02 juin 2017
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
-
Les mots dir ou l’amour inconditionnel du théâtre
Il y a de ces créateurs
en théâtre qui tracent
leur chemin hors des
sentiers battus, dans
l’exploration, la prise
de risques, portés
par une nécessité
intérieure plus forte
que les embûches.
Parmi eux, une femme,
comédienne, auteure
et performeuse,
persiste et signe. -
Trois choses que la danse a à dire au théâtre
Le théâtre gagnerait à écouter ce que lui dit la danse contemporaine. Que
ce soit à propos de la franchise du corps, de la « situation » scénique ou du
rapport au spectateur, la danse semble s’être émancipée d’une certaine idée
de « représentation » qui balise encore, au théâtre, nombre de productions.
Pour de -
En périphérie de nous-mêmes
Pour la jeune auteure, la banlieue est « une vieille
tapisserie de chambre d’enfant qu’on a de la
misère à gratter ». Faut-il alors faire peinturer
par-dessus ? L’assumer ? Confessions de celle qui
a « fui les boulevards industriels comme on fuit la
peste » pour mieux y revenir dans sa dramaturgie. -
Que sont les voisins devenus ?
Avec Les Voisins, Claude Meunier et Louis Saia
ont révélé les dessous du rêve américain en
employant les ressorts du théâtre de l’absurde.
Près de 40 ans après sa création, les enjeux de
la pièce sont encore tout à fait actuels. On en
discute avec Claude Meunier. -
L’ordre et le chaos
L’auteur de La Société des loisirs nous parle
des deux territoires qui ont façonné sa vision
du monde. Le quartier Saint-Michel, à Montréal,
où il est né et a passé les sept premières
années de sa vie, puis la tranquille et
douillette ville de Lorraine, en banlieue de la
métropole, où il a passé la suite de
son enfance et toute son adolescence. -
Le confort et l’obéissance
Ses personnages
ne sont pas des
banlieusards, mais
plusieurs ont une
relation trouble avec
le concept de banlieue.
L’auteur et comédien
Steve Gagnon a grandi
à Neufchâtel,
une banlieue typique
de Québec, mais,
rapidement, ses
désirs sont devenus
trop grands pour être
contenus dans un tel
environnement. -
Un microcosme sociopolitique du Québec ?
Sébastien Dodge, Guillaume Lagarde et
Emmanuel Reichenbach portent un regard
critique sur nos moeurs politiques et notre mode
de vie à travers quatre comédies situées dans une
banlieue plus ou moins proche de Montréal. -
Élevés dans les haies de cèdres
Deux jeunes auteurs
dramatiques partent
en road trip sur la Rive-Sud de
Montréal, vous menant avec eux
à la source qui alimente leur
imaginaire théâtral. -
Dialogue lavallois
Olivier et Pénélope,
dans un autobus de
la Société de transport
de Laval dont les
fenêtres salies par la
slush empêchent de
voir clair, font quelques
détours par leur passé
banlieusard. -
Un milieu de vie !
Au fil des ans, entre la
vingtaine et la trentaine,
le regard de l’auteur de
Construction, une pièce sur
la banlieue créée au Rideau
Vert en 2008, a beaucoup
changé. Il s’est nuancé,
précisé, complexifié. -
La vie est un roman
Dans l’oeuvre
du romancier
Dans l’oeuvre
du romancier
Jean-Paul Dubois,
Marcel Pomerlo
et Michel-Maxime
Legault ont trouvé des
sources d’inspiration
pour la création d’un
duo théâtral absurde
et rocambolesque :
Parfois, la nuit,
je ris tout seul.,
Marcel Pomerlo
et Michel-Maxime
Legault ont trouvé des
sources d’inspiration
pour la création d’un
duo théâtral absurde
et rocambolesque :
Parfois, la nuit,
je ris tout seul. -
Être de son temps
L’auteure revient sur l’événement Vous êtes ici/You are here,
présenté par LA SERRE – arts vivants, et dresse le portrait
de certaines préoccupations de cette jeune génération
d’artistes à la croisée des temps. -
Un manifeste (ou non)
En mai 2016, Sophie Corriveau et Katya Montaignac présentaient Nous
(ne) sommes (pas) tous des danseurs à l’Agora de la danse, des « tables
rondes dansées » réunissant 17 interprètes pour témoigner de leur métier.
Une aventure sensible et politique qui a donné naissance à un manifeste. -
Les paysages doux-amers d’El Conde de Torrefiel
La posibilidad que
desaparece frente al
paisaje (La possibilité
qui disparaît face
au paysage) sera
présentée au FTA 2017
par le collectif
barcelonais El Conde
de Torrefiel. Entretien
avec Tanya Beyeler,
l’une des âmes de ce
comte à deux têtes. -
Le théâtre de la liberté
Le progrès par la résistance