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Jaquette Demain j’arrive

Demain j’arrive

  • magazine : Ventilo
  • numero : 369 - 2016
  • date : 17 mars 2016
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Babel Med

    Pour les quinze mille spectateurs attendus à l’occasion de la douzième édition du festival, Babel Med se veut avant
    tout un bouillon de rythmes à la saveur unique dans lequel professionnels et festivaliers sont à la fois témoins et acteurs
    d’un véritable multiculturalisme en construction. Tour d’horizon.

    par Antoine Bruneton
  • Chante ou crève

    Bonnet de lapin pour Lionel, costume à paillettes et froufrous pour
    Jacky, le tout DIY, les joviaux animateurs d’un karaoké à la sauce
    indé ne passent pas inaperçus sur la scène locale. Leur formule
    du « Sing or Die » s’est fait des adeptes chez les chanteurs du
    dimanche, les wannabe rockstars et les bandes de copains éméchés.

    par Barbara Chossis
  • Danses incongrues

    Après La Confidence des oiseaux, qui mettait
    en scène pies, geais et autres volatiles aux
    petits gabarits, après Swan et ses cygnes
    immaculés et élégants, Luc Petton poursuit
    ses chorégraphies ornithologiques dans
    Light Bird, convoquant sur le plateau la
    majesté des grues de Mandchourie.

    par Barbara Chossis
  • Jean-Christophe Meurisse

    Les Chiens de Navarre, cyniques aboyeurs du temps présent, viennent chahuter le Gymnase avec leur dernière création,
    Les Armoires normandes, « fresque naïve autour du couple à notre époque ». Dialogue avec le leader de la troupe
    d’outsiders.

    par Barbara Chossis
  • Thomas Scimeca

    Des Chiens de Navarre au grand écran, d’Avignon au cinéma, du bon élève au mauvais garçon, Thomas Scimeca interroge
    tout autant qu’il fascine. Portrait d’un comédien multiple.

    par Marie Anezin
  • Festival Voyages en solitaire(s)

    Troisième édition très engagée du festival Voyages en solitaire(s), consacré aux solos d’acteurs.

    par Olivier Puech
  • Plaine de cœur

    Le grand plateau populaire qu’est la Plaine, ou désormais la Place Jean-Jaurès, fait aujourd’hui l’objet d’un réaménagement
    enclenché par la Mairie… sans la consultation des habitants. Une « montée en gammes » en rabotant son marché ?

    par Barbara Chossis
  • Commun printemps

    Le Carnaval indépendant de la Plaine-Noailles prépare sa dix-septième édition en plein état d’urgence, à l’heure où la
    dimension populaire du quartier-maire est menacée, deux ans après que la police a essayé d’y mettre court… Mais rien
    n’empêche Carnaval d’enterrer l’hiver en brûlant le fameux Caramentran, ce mannequin qui cristallise tous les malheurs de
    l’année passée. Car derrière les représentations toutes faites à l’image d’un simple divertissement, Carnaval déroule pourtant
    tout le génie salvateur de la subversion populaire. Sans l’assentiment des autorités officielles, de façon indépendante donc,
    celui de la Plaine se verra jugé sur la place publique avant de faire, une fois encore, joyeusement feu de tout bois.

    par Jordan Saïsset
  • Fernand Pouillon

    Marseillais et Aixois côtoient ses réalisations au quotidien. Pourtant, combien d’entre eux peuvent citer le nom de l’architecte
    Fernand Pouillon ? Alors qu’une exposition lui est consacrée à la Fondation Vasarely, ses défenseurs déplorent le peu
    d’attention porté à l’héritage de ce grand bâtisseur du XXe siècle.

    par Lisa Castelly
  • Hors d’oeuvres

    Retour dans les années 60 chez Vidéochroniques, avec une exposition qui retrace les débuts de l’art
    conceptuel, et interroge par là même les prémices de l’une des plus grandes incompréhensions de
    l’art contemporain. L’art est cosa mentale disait Léonard de Vinci, et l’idée prévaut sur la forme. N’en
    déplaise aujourd’hui encore à ses détracteurs…

    par Céline Ghisleri
  • Atelier Tchikebe

    L’Atelier Tchikebe révèle ses dernières impressions à l’occasion de la huitième édition des Sorties de Presses.

    par Astrid Börner
  • L’écrit du coeur

    Plus connue en tant que poète depuis qu’elle se consacre corps et âme à l’écriture, Caroline Sagot Duvauroux expose au
    cipM des oeuvres de sa vie de peintre. Retour sur le parcours d’une artiste multidisciplinaire au Coeur gros.

    par Sacha Steurer
  • La Biennale des Ecritures du Réel

    Un autre journal ou une autre façon de traiter la folie... Depuis trois ans, l’atelier de photo monté avec des personnes souffrant
    de troubles psychiques a donné jour à quatre journaux et plusieurs expositions à Marseille. La Biennale des Ecritures du Réel
    accueille aujourd’hui le projet collectif à la Friche pour une rétrospective de trois ans d’expérimentations. Coup d’oeil.

    par Sacha Steurer
  • Festival International du Film d’Aubagne

    Au fi l des ans, le Festival International du Film d’Aubagne a su maintenir un niveau d’exigence cinématographique et
    musical particulièrement élevé. Petit tour d’horizon de ce cru 2016.

    par Emmanuel Vigne
  • Rencontres du Cinéma sud-américain

    Du 18 au 26 mars, l’équipe d’ASPAS proposera, à la Friche et au Gyptis, sa dix-huitième édition des Rencontres du Cinéma
    sud-américain : une occasion unique pour le spectateur curieux de découvrir un ensemble de cinématographies souvent
    absentes des salles de cinéma.

    par Emmanuel Vigne

A propos du magazine

Ventilo
Ventilo VENTILO plaide pour une culture vivante et novatrice ainsi qu'une société ouverte. Il défend son engagement avec humour et ironie dans un grand esprit d'indépendance, soutenant les initiatives qui tentent de faire évoluer Marseille dans le bon sens. VENTILO s’adresse à tous ceux qui, y compris de passage, sont en recherche d’informations sur les sorties et activités culturelles dans les Bouches-du-Rhône et la Région PACA. Le magazine possède une identité visuelle forte. Pour chaque numéro, la couverture est réalisée par un graphiste, photographe ou designer. Ventilo s’inscrit dans une démarche équitable. Quand d’autres gratuits délocalisent la production, Ventilo s’investit dans l’économie locale. Il est le seul gratuit de son secteur toujours imprimé à Marseille et utilise du papier recyclé de fabrication française. Les ‘‘invendus’’ sont récupérés et recyclés.

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