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Jaquette Destins de femmes

Destins de femmes

  • magazine : Le Festin
  • numero : 121 - 2022
  • date : 10 mars 2022
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • La dame de Bayonne

    Un portrait inédit du peintre bayonnais Denis Etcheverry (1867-1952), Retour de promenade, a récemment rejoint les collections du musée Bonnat-Helleu, à Bayonne. Derrière ce titre bucolique et l’apparente tranquillité du modèle, se cache l’histoire d’une femme qui marqua son époque.

    par Maïtena Horiot-Ortega
  • Civaux, agglomération paléochrétienne

    Le site de Civaux offre un ensemble de vestiges archéologiques et de monuments datant des débuts du christianisme exceptionnellement riche. Stèle, inscriptions, chapiteaux historiés, fragments de peintures romanes et des centaines de sarcophages témoignent avec éloquence de l’importance de ce sanctuaire chrétien.

    par Hélène Crouzat
  • Le logis de Forge et ses jardins

    Au logis de Forge, paysage naturel ou composé, eau et lumière murmurent
    à l’unisson avec ce domaine de Mouthiers-sur-Boëme, habité depuis des siècles.

    par Ghislain de Beaucé , Pamela de Montleau
  • La Grande Rosa et Bordeaux

    Le bicentenaire de la naissance de Rosa Bonheur à Bordeaux est l’occasion de revenir sur les liens unissant la ville à cette femme de tête qui, en plein XIXe siècle, s’est émancipée des codes sociaux et imposée parmi les plus grands artistes de son temps dans un milieu artistique hostile et particulièrement misogyne. Point d’orgue de cette célébration, le musée des beaux-arts de sa ville natale organise une grande exposition qui sera ensuite présentée au musée d’Orsay (voir p. 142).

    par Dominique Dussol
  • Le clan des Bonheur

    Soudés, notamment lorsqu’il est question de travail ou de carrière, les enfants Bonheur forment un camp indivisible réuni autour de la sœur aînée. « N’était-ce pas moi, du reste, qui faisais bouillir la marmite à la maison ; la vente de mes tableaux devait suffire à peu près à tout. » Le succès de Rosa rejaillit sur son entourage et en même temps l’étouffe.
    Quant à ses amies Nathalie et Anna, elles interviennent en tant que praticiennes autour de Rosa qui mit en place une ruche industrieuse, toute vouée à la peinture et dont elle reste le seul maître.

  • George Sand à Boussac

    De La Dame à la licorne à la dame de Nohant

    par Olivier Thuillas
  • L’église Saint-Girons de Monein

    Ancienne étape sur la route de Compostelle, l’église Saint-Girons se distingue dans le paysage urbain de Monein par ses 60 m
    de longueur, qui en font la plus grande église gothique du Béarn, et par sa puissante tour-porche qui culmine à 40 m. D’une élégante simplicité, elle reflète les idéaux esthétiques du gothique flamboyant et de la Renaissance. Sa spectaculaire charpente, accessible aux visiteurs, nécessita l’abattage de plusieurs milliers de chênes.

    par Laurence Cabrero-Ravel
  • L’essentiel de la charpente Saint-Girons de Monein

    La charpente est un ouvrage constitué des pièces de bois (ou de fer à partir du xixe siècle) assemblées, supportant la toiture d’un édifice et isolant le bâti qu’elle surmonte. Elle peut être apparente, lambrissée ou dissimulée par un plafond ou des voûtes. Deux principaux types sont distingués sur des édifices médiévaux et renaissants : les charpentes à chevrons-portant- fermes et celles à fermes et pannes. Les arbalétriers des premières portent directement la couverture, alors que les secondes sont dotées de pannes posées sur les arbalétriers et recevant la toiture. La forme, la hauteur et
    la pente de la charpente (et par conséquent, de la toiture qui la recouvre) participent de la verticalité des édifices. Elles sont adaptées aux matériaux de couverture et dépendent des usages locaux, des conditions climatiques et des tendances de l’époque de la construction. La structure des charpentes est plus ou moins perfectionnée d’un édifice à l’autre. Elle comporte généralement des dispositifs de raidissement des fermes, de renforcement des différentes poutres et de répartition des charges sur les murs, appropriés aux forces qui vont s’exercer. L’analyse dendrochronologique des charpentes permet de les dater de manière très précise, en observant les anneaux
    de croissance de la section transversale des troncs d’arbre équarris
    pour l’ouvrage.

    par Laurence Cabrero-Ravel
  • Andernos, naissance d’un port

    Situé dans le nord du Bassin d’Arcachon, le port ostréicole d’Andernos-les-Bains est aujourd’hui un endroit idéal pour déguster des huîtres dans un cadre enchanteur. Il n’en fut pas toujours ainsi, car c’est au terme de dix années de manœuvres, d’atermoiements, mais aussi de ténacité que le port vit le jour. Retour sur le téméraire périple de sa construction.

    par Jean-François de Chorivit , Bernard Eymeri
  • Le martyre des prêtres déportés de Charente

    Entre 1794 et 1802, les côtes charentaises devinrent un gigantesque cimetière sans sépulture pour des milliers de prêtres refusant de se soumettre à la Constitution civile du clergé. Commémorations et pèlerinages
    entretiennent, depuis la fin du XIXe siècle, le souvenir de ces lieux.

    par Patrick Dussol
  • Landes, tout un chapelet de chapelles

    À proximité de la plage, mais se tenant à l’écart des turbulences de la vie estivale, les chapelles du littoral landais apparaissent le plus souvent humbles et modestes. Elles ont été construites par des bâtisseurs et des artistes locaux. Elles se présentent cependant comme d’émouvants témoignages du patrimoine religieux landais.

    par Serge Airoldi
  • Bernard Palissy

    Tout héros a sa part de légende, et le céramiste Bernard Palissy (v. 1510-1590) n’échappe pas à la règle. Dans la période troublée des guerres de Religion, son parcours, parsemé d’embûches et de péripéties, l’a conduit à sillonner la France, de l’Agenais à la Saintonge, avant d’obtenir une reconnaissance parisienne et de mourir embastillé. Mais veillant toujours à rester
    en contact direct avec la nature, son art, indémodable, a traversé les siècles et inspire aujourd’hui encore nombre de suiveurs.

    par Bernard Bachelier
  • Saint-Junien relève le gant

    Bordée par la Vienne, Saint-Junien, ville de tradition industrielle,
    a notamment prospéré grâce au travail du
    cuir et de la ganterie.
    Du XVIe siècle à nos jours, parcourons l’histoire mouvementée de cet artisanat de luxe.

    par Mathilde Rimaud
  • Le site gallo-romain des Cars

    Rome en Haute-Corrèze

    par Lise Beynel , Liliane Beynel , Benoît Guillo
  • Périgord noir

    Un faux débat, opposant patrimoine et environnement, voudrait que les moulins
    à eau disparaissent au profit de « la libre circulation des poissons migrateurs » ! Depuis 2006, les moulins ancestraux
    (à eau et à vent) sont heureusement
    fêtés chaque année, au mois de juin, lors de la Journée du patrimoine de pays et
    des moulins.
    Petit parcours « molinologique » sur la route des moulins en Périgord noir.

    par Boris Rebeyrotte

A propos du magazine

Le Festin
Le Festin LE FESTIN défend, depuis plus de 25 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine. A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.

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