Gastronomie iranienne
- magazine : La Revue de Téhéran
- numero : 57 - 2010
- date : 01 août 2010
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Les incontournables de la table iranienne
L'art culinaire iranien est l'un des éléments culturels qui rend particulièrement bien compte de la subtilité de la culture proprement dite iranienne.
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Quelques recettes et spécialités locales iraniennes
Généralement, chaque ville iranienne a ses propres spécialités. leurs ingrédients témoignent de la géographie, tandis que leurs saveurs et couleurs soulignent les goûts culinaires et esthétiques des Iraniens.
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Souvenirs d’un boulanger
M. Dâvoud Roghani (Shâter Dâvoud), boulanger Sangaki à Rey, dans les années 1930, a écrit en 1977 un livre sur son métier.
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Une ambassadrice de l’art culinaire iranier: Najmieh Batmanglij
" Mon objectif est de présenter quelques bons aspects de la culture iranienne. Je suis spécialiste de l'art culinaire, j'aimerais donc montrer que le nom de l'Iran s'associe à la rose, à la grenade et à de bons repas. "
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Chelow Kabâb et fâloudeh made in France
L'importante opération d'urbanisme du Front de Seine à Paris, lancée à partir des années 1970 sur la rive gauche de la Seine en aval de la Tour Eiffel, a longtemps attiré une clientèle étrangère aisée venue s'y installer plus ou moins durablement, parmi laquelle on comptait de nombreux iraniens.
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L’alimentation et son évolution logique dans le mythe iranier du premier homme
Cet article étudie le mythe iranien du premier couple, Mashi et Mashyâneh, explique le rôle de l'alimentation dans la formation de la culture et le processus de valorisation de l'alimentation dans celle-ci.
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Le vin dans le Coran et dans la poésie gnostique à travers l’exemple de Hâfez: de l’ivresse terrestre à l’extase spirituelle
Bien que révélée progressivement, l'interdiction du vin est clairement exprimée dans le Coran et a été rattachée à plusieurs causes: individuelle, en ce qu'il altère la raison alors que la religion se veut un éveil conscient de l'homme à lui-même, ou encore sociale de par les désordres et dangers qu'il peut générer au sein de la société.
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L’iran dévoilé par ses artistes, au centre National Georges Pompidou à Paris
A l'occasion de la sortie d'un numéro spécial du magazine Art Press intitulé " L'Iran dévoilé par ses artistes", le centre Georges Pompidou et Musée National d'Art Moderne à Paris ont organisé, le 7 mai dernier (2010) une soirée en présence de Catherine Millet, directrice de la rédaction de cette revue, d'artistes, d'acteurs du monde de l'art, et d'intellectuels iraniens qui ont collaboré à la rédaction de ce numéro consacré exclusivement à l'art contemporain iranien.
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L’art iranien contemporain tel qu’en lui-même, une présence croissante sur la scéne française
Certes des artistes iraniens ont été vus, ont résidé, ont étudié ou se sont installés en France (et ailleurs) depuis des décennies.
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Les thèmes et les images concernant l’Iran dans l’Usage du monde de Nicolas Bouvier
Voyageur, écrivain, poète, essayiste, iconographe, professeur, guide touristique en Chine, Nicolas Bouvier naît le 6 mars 1929 à Grand-Lancy, près de Genève.
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Une lecture de “Lire Lolita à Téhéran et de Persepolis” effectuée à Téhéran
Dans ses nombreux articles, Edward Saïd tente d'indiquer les méthodes dont dispose l'Occident afin de représenter l'Orient comme étant un Autre barbare, despotique ou, en d'autres mots, un alter ego inférieur.
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Comparaison de deux personnages de la littérature enfantine persane et française: “Madjid et Nicolas”
Cet article vise à établir une comparaison entre deux personnages de la littérature enfantine, l’un iranien et l’autre français, bien connus dans leurs pays respectifs. « Madjid » est le protagoniste d’un ouvrage intitulé Les aventures de Madjid écrit par Houshang Morâdi-Kermâni, écrivain très célèbre en Iran. « Nicolas » est quant à lui le personnage principal d’une série d’ouvrages ayant pour titre Le petit Nicolas et est né de deux pères : René Goscinny, écrivain et Jean Jacques Sempé, illustrateur.
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La maison de la Poèsie à Paris
Il m’est particulièrement agréable d’écrire cet article sur la Maison de la Poésie de Paris pour La Revue de Téhéran, cela venant à la suite du numéro spécial consacré à la poésie persane auquel j’ai contribué en tant que poète, faisant écho à quelques poètes iraniens contemporains, Akhâvan Sâles, Fourough Farrokhzâd et Ahmad Shâmlou. Mais il y a aussi, je crois, cette particularité enchanteresse propre à la culture persane où la poésie, peut-être davantage qu’ailleurs au monde et depuis toujours, est au cœur de la vie quotidienne, vivante, vibrante et vraiment partagée par tous. Car la poésie persane n’est pas une catégorie isolée, ni de l’écriture –de la calligraphie - qui est doublement poétique en ce qu’elle donne à voir et à entendre concomitamment, ni de la musique ou du chant dans lesquels elle s’écoule naturellement.
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Debout sur la terre, Entretien avec Nahal Tajadod
Nahal Tajadod, née à Téhéran, vit en France depuis 1977. Cette double culture, enrichie d’une troisième, acquise au cours de ses études couronnées par un doctorat de chinois ancien, fait de son œuvre littéraire, écrite en Français, un pont d’une grande force jeté entre Orient et Occident. Une rencontre à son domicile parisien m’a permis de comprendre que sa plume se nourrit du grand attachement qu’elle éprouve pour son pays d’origine, l’Iran.