Glass Fever
- magazine : Collect
- numero : 463 - 2016
- date : 01 mai 2016
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
-
Patrick Lancz
En près d’un quart de siècle, le galeriste Patrick Lancz s’est spécialisé dans la peinture de la période
1890-1950, avec une attention particulière pour l’école belge. Il s’est efforcé plus récemment de
promouvoir dans ses choix l’ensemble des techniques de travail sur papier et de redonner sa place à
la sculpture. Portrait de ce grand marchand bruxellois à l’occasion d’une belle exposition consacrée
à Léon Spilliaert. -
Charles Le Brun
Il fut premier peintre de Louis XIV durant près de trente ans, grand décorateur de la galerie des
Glaces à Versailles, directeur de l’Académie royale de Peinture et de Sculpture ainsi que de la
Manufacture royale des Gobelins. Charles Le Brun (1619-1690) fait l’objet d’une grande exposition
monographique au Louvre-Lens. Parmi toutes ses oeuvres, le Portrait équestre du chancelier Séguier
témoigne finement de son talent comme de ses ambitions. -
Georges Uhoda
Curieux et passionné, Georges Uhoda est passé d’amateur éclairé à collectionneur réputé. Depuis
quarante ans, l’homme d’affaires se laisse émerveiller par des artistes avec lesquels il partage – au-delà
des regards et des mots échangés – de réelles affinités. Comment devient-on un grand collectionneur
d’art contemporain quand on vient d’un milieu qui n’y connaît rien ? -
Du MAMAC à La Boverie
Après une longue fermeture, le MAMAC rouvre ses portes ! Au programme, de nouvelles collections,
un nouvel étage, une extension, une ouverture sur le parc qui l’entoure, une collaboration avec Le
Louvre… Plein de bonnes nouvelles, semble-t-il. -
Francis Picabia
L'anti tout
-
Francis Bacon
La Tate Liverpool présente une exposition centrée sur trente tableaux de Francis Bacon accompagnés
de dessins et documents. Les organisateurs ont dégagé un motif spécifique dans l’oeuvre de
l’artiste, à savoir la manière dont une architecture fut créée autour de ses personnages, souvent au
moyen de quelques lignes. Il ne s’agit en général pas de véritables constructions, mais plutôt d’une
suggestion de structure, qui presqu’invisible, est essentielle à l’évolution du sujet. -
Barbie Superstar
La très belle exposition que consacre le Musée des Arts décoratifs de Paris à la célèbre poupée
Barbie, une première dans une institution française, rend compte de bien des paradoxes : Barbie est
bien plus qu’un jouet, elle est le reflet d’une histoire culturelle et sociale, elle incarne certains codes
et en brise d’autres, se démultipliant à l’occasion : africaine, asiatique, indienne en plus d’être occidentale,
elle est universellement fétichisée. -
GlassFever
Le nouvel art du verre de Murano
-
Masséot Abaquesne
Qui était Masséot Abaquesne ? Difficile de répondre. Mais une exposition rétrospective au Château
d’Écouen, près de Paris, tente d’éclairer votre lanterne. -
Charles Van Herck
C’est avec éclat que, sous l’heureux titre Héros d’argile et de papier. La collection Van Herck, le Musée
royal de Mariemont célèbre le vingtième anniversaire de l’acquisition par la Fondation Roi Baudouin
de la collection de Charles Van Herck (1884-1955), habituellement conservée au Musée royal des
Beaux-Arts d’Anvers, actuellement en restauration, en présentant un choix de dessins et de terres
cuites de cette collection. -
Trumeaux & consoles Empire
Nous en connaissons de nombreux modèles, sobres ou richement dorés. De forme austère, ils
s’intègrent parfaitement dans tous les intérieurs, même ultramodernes. -
Pierre Paulin
Prévue initialement à l’automne dernier, la rétrospective du designer Pierre Paulin s’installe enfin au
Centre Pompidou, à Paris. Une exposition qui salue un parcours d’une grande densité, ponctué de
commandes officielles prestigieuses, dont la création de mobilier pour les présidents Georges Pompidou
et François Mitterrand, l’aménagement des Grandes Galeries du Musée du Louvre, des avions
Airbus ou le réaménagement des salles à manger du Palais de l’Elysée.