Presse
Jaquette Habemus Papam

Habemus Papam

  • magazine : Les Fiches du Cinéma
  • numero : 2013 - 2011
  • date : 01 septembre 2011
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Blackthorn, la dernière chevauchée de Butch Cassidy de Mateo Gil

    Mateo Gil réalise avec Blackthorn un western romantique aux accents politiques prononcés. Les acteurs et la maîtrise des grands espaces nous font oublier la relative maladresse des flash-backs. Lutte des classes et Chicha à la sauce cow-boy.

    par Gaël Martin
  • Destination finale 5 de Steven Quale

    On reprend le même concept, et on recommence à l’identique et (encore) en 3D : ce cinquième Destination finale ne brille pas par son originalité. Mais son envie de faire du “Z” potache et sans prétention prime sur l’incompétence des acteurs et l’inanité des dialogues.

    par Michael Ghennam
  • La Grotte des rêves perdus (Cave of Forgotten Dreams) de Werner Herzog

    Après son étonnant remake de Bad Lieutenant, le très grand Werner Herzog propose un documentaire sur une grotte préhistorique. Visuellement spectaculaire, le film peut paraître, par ailleurs, un peu impersonnel. Mais peut-être à tort...

    par Simon Gutman
  • La Guerre est déclarée de Valérie Donzelli

    Valérie Donzelli réussit à filmer sans pathos, avec beaucoup de sincérité et de personnalité, un couple
    faisant face à la maladie de son enfant. À la fois léger et explosif, réjouissant et bouleversant, La Guerre est déclarée est une vraie claque.

    par Anne Berjon
  • La Ligne blanche de Olivier Torres

    La Ligne blanche est un premier essai de réalisation plutôt réussi de la part du comédien Olivier Torres. Un film qui déborde de références cinéphiliques, mais qui réussit à ne pas asphyxier le spectateur grâce à une façon plutôt humble de citer.

    par Gaël Martin
  • Neds Non Educated Delinquents (Neds) de Peter Mullan

    Après ses Magdalene Sisters, Mullan revient sur ses années de jeunesse et peint une société déchirée. Ses “Non-Educated DelinquentS” engendrent une violence qui met mal à l’aise, profondément. Quelques lourdeurs cependant nous laissent sur notre faim.

    par Michel Berjon
  • R.I.F. Recherches dans l’Intérêt des Familles de Franck Mancuso

    R.I.F. est le deuxième film de Franck Mancuso (Contre-enquête). Yvan Attal y campe avec fièvre un flic dont la femme a disparu et qui est soupçonné par son propre corps de métier. Un thriller sans grande originalité, mais de bonne facture.

    par Camille Lebert Loiret
  • Les Winners (Win Win) de Tom McCarthy

    Brave type piégé, ado en crise sauvé par le sport : tous les ingrédients d’une guimauve mélo sont réunis. Mais derrière la caméra, il y a Tom McCarthy. Et derrière les lourds poncifs, un film plutôt chaleureux, sensible et humain.

    par Christian Berger
  • L’Ange du mal (Vallanzasca : gli angeli del male) de Michele Placido

    Deux cents jours de cavale du plus célèbre gangster italien de l’après-guerre portés par un Kim Rossi Stuart impeccable. Michele Placido, auteur de Romanzo criminale, se penche sur l’histoire de l’Italie et les années de plomb en regardant au-delà du mythe.

    par Géraldine Borrely
  • Au revoir (Bé Omid é Didar) de Mohammad Rasoulof

    Une jeune avocate cherche à quitter l’Iran : s’engage alors un véritable parcours du combattant. Une description pointilleuse, mise en scène avec une grande rigueur, qui apporte un témoignage sec et percutant sur ce qu’est aujourd’hui la vie en Iran.

    par Julien Nève
  • Carré blanc de Jean-Baptiste Leonetti

    La lutte de deux individus au sein d’une société totalitaire et violente. Salutaire dans sa démarche et son honnêteté, ce thriller à l’univers orwellien ajoute malheureusement au minimalisme de sa réalisation celui de son propos.

    par Sélim Ammouche
  • 18 jours (Tamantashar yom) Collectif

    18 jours de révolution égyptienne et dix courts métrages pour les représenter à travers autant de points de vue. Par son absence de distance réflexive, ce programme questionne involontairement la capacité du cinéma à montrer ainsi le présent.

    par Sélim Ammouche
  • Habemus Papam (Habemus Papam) de Nanni Moretti

    Habemus Papam présente le questionnement d’un nouveau Pape en proie au doute. Moretti n’a rien perdu de ce ton à la fois tendre, drôle et mordant
    qui lui permet d’observer avec acuité les aspects essentiels de la société italienne contemporaine.

    par Benjamin Untereiner
  • Le Monde de Barney (Barney’s Version) de Richard J. Lewis

    Nous perdant entre réalité et subjectivité, Le Monde de Barney retrace la vie d’un homme vieillissant, atteint d’Alzheimer. Antihéros par excellence, Barney devient attachant grâce à Paul Giamatti, qui trouve ici une belle occasion de rappeler son talent.

    par Anne Berjon
  • La Fée de Dominique Abel, Fiona Gordon et Bruno Romy

    Changement (renouvellement et élargissement des thèmes) dans la continuité (art du saugrenu, mise en scène toujours foutraque) : dans la lignée de Méliès ou Laurel & Hardy, nos trois Belges se révèlent toujours aussi créatifs et imprévisibles.

    par Christian Berger
  • La Guerre des boutons de Yann Samuell

    Première offensive des boutons en salles, avec cette version “fifties” signée Yann Samuell. Bons sentiments, petites ou grandes caricatures, scénario qui fleure la naphtaline : le film brille par sa naïveté, mais les plus jeunes pourraient être conquis.

    par Michael Ghennam

A propos du magazine

Les Fiches du Cinéma
Les Fiches du Cinéma LES FICHES DU CINEMA est la plus ancienne revue de cinéma en France ! Elle traite sous forme de fiches tous les films à l'affiche. Chaque fiche présente le résumé intégral du scénario et un commentaire critique débattu au sein du comité de rédaction. Ce comité est volontairement hétérogène (les rédacteurs ont entre 20 et 80 ans !), afin de défendre tous les cinémas. En marge des chapelles critiques, Les Fiches du Cinéma est édité par une association autonome et indépendante.

Dans la même catégorie