Hate de Laetitia Dosch
- magazine : La Terrasse
- numero : 268 - 2018
- date : 13 septembre 2018
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
-
Peter Stein
C’est l’une des grandes figures du théâtre européen de ces
cinquante dernières années. Le metteur en scène d’origine
allemande Peter Stein s’empare pour la première fois d’une pièce
de Molière. Il crée Le Tartuffe avec notamment Pierre Arditi,
Jacques Weber, Isabelle Gelinas et Catherine Ferran. -
Alexandra Badea
L’auteure et metteure en scène Alexandra Badea présente Thiaroye,
premier volet d’une trilogie intitulée Points de non-retour. À la
croisée de l’intime et du politique, ce projet théâtral s’attache à
éclairer des zones d’ombre de l’histoire récente de notre pays. -
Jean-François Derec
Jean-François Derec adapte et interprète le roman dans lequel il
raconte son enfance et la découverte qui l’a bouleversée. écriture
incisive, mise en scène au cordeau, interprétation hilarante et
poignante et excellent viatique antiraciste ! -
Eh bien, dansez maintenant
Au mitan d’une tournée mondiale où elle présente sa nouvelle
création, Ilka Schönbein s’installe pour quelques représentations
dans le temple parisien de la marionnette, lieu idéal pour cette
prêtresse du genre ! -
Hate
La singularité artistique de Laetitia Dosch s’affirme et s’affine dans
cette aventure hors normes en forme de duo à cheval. Hate sera
sans nul doute un événement de la rentrée. -
INA collection de DVD “films de théâtre ” :
Les rapports fructueux entre cinéastes
et metteurs en scène -
Le Dernier Jour du jeûne
Simon Abkarian réunit de magnifiques comédiens dans Le Dernier
Jour du jeûne, tragi-comédie « à la méridionale ». Il signe un
spectacle drôle et émouvant, lyrique et politique, palpitant et
exaltant. Une vraie merveille ! -
Théâtre de Sartrouville et des Yvelines
Une créativité fédératrice
-
La Loi des Prodiges
François de Brauer réalise une époustouflante et hilarante
performance autour de la Réforme Goutard, portée par Rémi
Goutard et visant à faire disparaître les artistes. -
Benoît Lambert, la jeunesse à coeur et à jardin
Au Théâtre de l’Aquarium, Benoît Lambert crée Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux.
Une pièce qui témoigne de l’engagement du metteur en scène envers les jeunes générations de comédiens au
Théâtre Dijon Bourgogne qu’il dirige depuis 2013. De son désir de les accompagner au mieux au sortir des
Écoles Supérieures d’Art Dramatique, notamment à travers un dispositif pilote porté par le Centre Dramatique National. -
Un nouveau cap pour la Comédie de Genève
Ce théâtre historique de la capitale suisse, qui fut dirigé notamment par Benno Besson ou Claude Stratz, vit aujourd’hui
une mutation. Ses nouveaux directeurs, Natacha Koutchoumov et Denis Maillefer, surnommés « NKDM », affichent
de grandes ambitions. Nouvelle ligne artistique, nouvelle identité graphique, nouveaux dispositifs d’action culturelle,
nouvelle politique tarifaire… : leur projet se révèle dynamique et haut en couleurs. Pleins feux sur cette première saison
qui est aussi la dernière saison complète dans le théâtre du boulevard des Philosophes, avant de déménager
l’an prochain dans le quartier des Eaux-Vives en pleine expansion. -
Clément Poirée
Le directeur du Théâtre de La Tempête met en scène la ronde
nocturne d’Ivan Viripaev, une symphonie où les personnages ivres
laissent émerger leur désir de vivre, leur besoin de sens et
d’amour. -
Théâtre Kléber-Méleau
Grâce à une saison voyageuse, nourrie par les rêves des poètes et les pouvoirs de l’acteur, le Théâtre Kléber-Méleau
invite au dialogue entre fiction et réel, entre l’ici et l’ailleurs, entre l’évidence et l’énigme.
Cet automne, Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil sont invités en Suisse.
Au fil de la saison, la scène de Renens célèbre la vitalité d’un théâtre ambitieux et sans frontières. -
Olivier Balazuc et Lou Wenzel
Olivier Balazuc et Lou Wenzel font leur rentrée aux Plateaux
Sauvages. Sous la direction du metteur en scène, la comédienne
interprète Max Gericke ou pareille au même de Manfred Karge :
l’histoire d’un chemin d’existence à double voie. -
Anne Teresa De Keersmaeker
Rares sont les chorégraphes qui peuvent afficher plus de trentecinq
ans de créations. C’est le cas d’Anne Teresa De Keersmaeker,
à laquelle le Festival d’Automne à Paris consacre un « portrait »
composé de onze pièces différentes qui jalonnent son parcours
d’exception.