La Croisière du Navigator

Sommaire

• Buster Keaton

  Le petit Joseph
  Francis Keaton naît le 4
  octobre 1895 au Kansas, parmi
  une famille d’artistes de vaudeville*.
  La légende dit qu’à six mois, le petit garçon déjà turbulent, dévale un escalier et tombe la tête la première nez à nez avec le célèbre magicien Harry Houdini* qui captivé, s’exclame : « What a buster ! (Quel casse- cou !) ». Cette anecdote lui vaut
  alors son pseudonyme d’artiste permanent : Buster
  Keaton.

  par Manon Richard
• Le traitement de l’espace

  Rollo et sa
  fiancée Patsy, vivent
  dans de très grandes maisons. C’est une manière pour le cinéaste
  de nous montrer la richesse des deux personnages. Pour se rendre chez Patsy, Rollo monte dans sa voiture, mais ce n’est que pour traverser la rue ! L’humour de Buster Keaton consiste, en effet,
  à nous faire rire avec des situations absurdes.

  par Alexis Lormeau
• La mer au cinéma

  Salut moussaillon ! Aujourd’hui on embarque sur un bateau pour aborder le sujet de la mer au cinéma ! Qu’elle nous éloigne du quotidien, nous effraie par ses fonds mystérieux ou nous fascine, la mer n’a pas fini d’inspirer les cinéastes.

  par Iris de Jessey
• Les procédés burlesques

  La Croisière
  du Navigator de Buster Keaton appartient au genre
  du cinéma burlesque. Ce genre a pour but de faire rire et divertir les spectateurs et les spectatrices, à l’aide de toute une série
  de gags. PopCorn t’aide
  à les décortiquer...

  par Charline Couturier
• Nadine Lamari, scénariste

  Avant de
  réaliser La Croisière
  du Navigator, Buster Keaton
  a imaginé l’histoire, l’endroit où elle allait se dérouler et les personnages.
  Il a écrit ce que l’on appelle un scénario. En route pour les coulisses du cinéma en partant à la rencontre de Nadine Lamari qui va nous présenter
  le métier de scénariste !

  par Odile de Lacroix
• Rejoue la scène de la cuisine

  Oh non ! Le script* est passé par-dessus bord lors du tournage en mer ! Certains mots de cette scène de La Croisière du Navigator ont disparu...

  par Marianne Selli