L’art comme monde
- magazine : Artline
- numero : 201310 - octobre 2013
- date : 01 octobre 2013
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Thomas Perraudin ou l’idée d’un archéologue de l’art
Lectures : Avec le titre de son exposition, Thomas Perraudin, artiste strasbourgeois
d'adoption, place son travail sous le signe des mots, de la
langue, du langage. Une façon peut-être pour l'artiste de lire le(s) temps.
Thomas Perraudin a participé pendant sept ans à des campagnes de
fouilles sur deux sites préhistoriques situés en Franche-Comté. -
Godwin Hoffmann : un peintre
D’un artiste il faut en premier lieu dire l’oeuvre et l’engagement, la ténacité
que cela nécessite dans la vie d’un homme. Pour Godwin Hoffmann cet
engagement fut total, une vie en peinture qui interroge dans le même
temps les grandes oeuvres de l’histoire, qui les poursuit et fonde un
travail totalement original. -
Morceaux choisis d’art contemporain
Après l’Elsass Tour et sa trentaine de rendez-vous sur tout le territoire, le
Frac Alsace termine sa tournée anniversaire par une grande exposition de
sa collection répartie sur quatre lieux, comme autant de propositions de
lecture d’une collection qui révèle trente années de goûts et d’orientations
esthétiques -
Wanderung / Promenade
Durant tout l’été, le CEAAC a présenté l’exposition Wanderung/Promenade.
Organisée en collaboration avec la Städtische Galerie d’Offenburg,
cette exposition rassemble vingt-cinq artistes dans deux lieux différents,
et aborde la question du rapport entre la promenade et la disponibilité
mentale nécessaire au jaillissement de nouvelles idées et de nouvelles
formes. Ainsi, au 7 rue de l’Abreuvoir, une quinzaine d’artistes français et
allemands se côtoient, proposant chacun une vision de la marche, de la
mobilité et du nomadisme. -
Résidences Croisées
Du 20 septembre au 14 octobre 2013, la ville de Strasbourg, en
partenariat avec le CEAAC, la Haute Ecole des Arts du Rhin et Apollonia,
présente une exposition des résidences d’artistes qui ont eu lieu en 2011
et 2012. -
Sletto et Corso
Il y a deux ans, en 2011, la biennale d’art contemporain de Sélestat s’intitulait
Encore une !, titre renvoyant au travail entrepris depuis plus de 20 ans pour
mettre en relation l’art contemporain avec l’espace public et le patrimoine.
Un titre, aussi, sur le mode de l’injonction, qui incitait au décompte et à
l’énumération des multiples éditions précédente, marquant également
le point final - une de plus ! - et point de départ d’une nouvelle édition :
encore une… avant la 20ème !