Le cinéma est romanesque 2

Sommaire

• Anna Karenina

  Parmi les nombreuses façons de transposer un roman en
  film – ce qu’on appelle couramment l’adaptation – il y a la
  voie qu’André Bazin appelle la fidélité à l’esprit, et qui consiste
  à trouver quelque « équivalent » cinématographique à la forme
  romanesque : ainsi, Joe Wright, pour son Pride and Prejudice,
  a trouvé, avec un bonheur certain, la fluidité et l’enjouement
  qui correspondent au style de Jane Austen.

  par Joe Wright
• Cloud Atlas

  Il n’y a qu’un seul monde

  par André Balso
• L’espace romanesque : un présent sans Dieu

  Black Coal
  Bai Ri Yan Huo

  par Élisabeth Boyer
• La frusta e il corpo

  Le corps et le fouet

  par Annick Fiolet
• Ode au bonheur : voir l’invisible voix de l’amour

  Satyam Shivam Sundaram

  par Charles Foulon
• Trois Ned Kelly

  The Story of the Kelly Gang
  (Charles Tait, 1906)
  Ned Kelly
  (Tony Richardson, 1969)
  Ned Kelly
  (Gregor Jordan, 2003)

  par Pascale Risterucci-Patterson
• De la source à la source

  Don Quichotte d’Orson Welles

  par Serge Peker
• Le Rayon vert

  (Eric Rohmer, 1986)

  par Pierre Jailloux