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Le trésor du Tout en Commun

  • magazine : Limite
  • numero : 18 - 2020
  • date : 20 avril 2020
  • catégorie : Actualités

Sommaire

  • Du lin jusqu’à la lie

    à l’heure de la fast fashion, s’habiller écolo tourne souvent au casse-tête. La récup’ est certes une bonne habitude, mais si tout le monde récupère, il n’y aura un jour plus rien à chiner. et au lin de s’en mêler...

    par Théo Moy
  • Les hommes au foyer !

    Depuis quelques numéros, la chronique féministe
    se fait discrète. Faut-il croire que j’ai pris des vacances ? J’ai fait pire: je suis devenue femme au foyer.

    par Marianne Durano
  • Kevin Fermine

    Kevin Fermine, 27 ans, est atteint du syndrome de Little depuis la naissance, une forme d’infirmité motrice cérébrale qui perturbe son équilibre. Il mène depuis des années un combat pour
    la dignité et la reconnaissance des personnes en situation de handicap, et refuse l’apitoiement de la société.

    par Raphael Pateloup
  • Les invisibles

    à propos de l’autisme et de la longue solitude qu’il crée

    par Mahaut Herrmann
  • Connaissez-vous vraiment le handicap ?

    Pour comprendre les personnes en situation de handicap qui nous entourent, le mieux est de commencer par être au courant de leur situation et de leur quotidien. Limite se propose donc de répondre à dix questions que vous vous posez peut-être sur le handicap.

    par Antonin Gouze
  • Charlotte Grawitz

    Marseillais depuis toujours,
    je confesse avoir découvert
    il y a quelques semaines seulement une femme chrétienne sociale qui
    a pourtant marqué l’histoire de la cité phocéenne, en y ouvrant notamment l'un des premiers cAt de France.
    Son œuvre subsiste aujourd’hui,
    plus que son nom: elle s’appelle Charlotte Grawitz.

    par Amaury Guillem
  • Matthieu Combe

    « Les industriels commencent
    à perdre
    du terrain »

    par Laurent Ottavi
  • Balayeurs, conducteurs, ripeurs

    Pour parler des déchets et autres rebuts de la société de consommation, Limite a eu une idée folle: donner la parole aux premiers concernés. Entre pénibilité du travail, manque de reconnaissance et aspirations écologiques, cinq éboueurs racontent leur quotidien.

    par Matthieu Jublin
  • Plastiques : le raz-de-marée

    80% des déchets en mer viennent des terres. Lutter contre la pollution des rivières et des océans par les plastiques implique donc d'abord de revoir radicalement nos modes de vie et notre consommation.

    par Nathaly Ianniello
  • Carburer au plastique, c’est possible !

    Devant la difficulté de la sphère politique à prendre les décisions nécessaires pour limiter les déchets plastiques dans l’océan, les initiatives individuelles se multiplient. parmi elles, l’équipe du Plastic Odyssey a fait le pari osé d’un tour du monde à bord d’un bateau alimenté exclusivement par les déchets collectés en route.

    par Robin Nitot
  • Contre l’entreprise et l’état, la communalisation

    Contre la vision d’un Homme fondamentalement prédateur de la nature et obnubilé par son intérêt personnel, plusieurs penseurs voient dans les « communs » une solution pour organiser une société à la fois solidaire et durable. Ce qui pourrait permettre de sortir de l’alternative mortifère entre propriété privée et propriété étatique.

    par Yves-Marie Abraham
  • Sous la Révolution, priorité à la propriété

    Dans la conscience collective française, la révolution marque l’avènement d’une nation fondée sur la passion de l’égalité entre les citoyens. Mais si cette dimension de la révolution est indéniable, il faut garder à l’esprit que les révolutionnaires ont aussi été des ardents défenseurs de la propriété privée, quitte parfois à y sacrifier l’égalité promise.

    par Antonin Gouze
  • Les parsonneries

    Quand nos ancêtres travaillaient en famille

    par Didier Gallant
  • Emmanuel Dockès

    Professeur de droit, Emmanuel Dockès est l’auteur de Voyage en misarchie (éditions du Détour, 2017), un essai utopique où se dessine une société dans laquelle tout est pensé pour limiter l’excès de pouvoir. Si la misarchie, « la haine du pouvoir », supprime l’État et le capitalisme, elle préserve la petite propriété comme un pilier de la démocratie et la condition de la réalisation d’une société de liberté et d’égalité.

    par Brieuc Havy
  • Localisme et “communs ”

    Sont-ils vraiment faits l’un pour l’autre?

    par Aurélien Bernier
  • Au Bruderhof

    Qui ne connaît les Amish? Notre numéro 12 (« La Bourse ou la vie? ») leur avait consacré un grand reportage. Mais saviez-vous qu’il existe une communauté plus radicale encore et bien plus proche? Les Amish de mes Amish sont mes Amish: je vous présente le Bruderhof, communauté anabaptiste fondée en Allemagne en 1920. Un siècle, ça se fête! D’autant que les choix de ce mouvement qui rassemble des familles et des célibataires qui mettent tout en commun a de quoi impressionner. Et interroger.
    Le Guardian et la BBC qui, coup sur coup, ont enquêté sur le village
    de Darvell n’ont relevé aucune dérive. Dangereux illuminés ou prophètes des temps modernes? entretien avec Allen page, le rédacteur en chef anglais de La Charrue, le trimestriel, spirituel et subversif, de cette communauté, aux faux airs de Limite.

    par Gaultier Bès

A propos du magazine

Limite
Limite LIMITE est une revue de combat culturel et politique, d’inspiration chrétienne. Face à la démesure contemporaine, nous voulons promouvoir une écologie intégrale qui se fonde sur le sens des équilibres et le respect des limites. « Science des interactions et des conditions d’existence », l’écologie ne saurait choisir ni l’humain contre la nature, ni la nature contre l’humain. Parce que « tout est lié », elle doit chercher au contraire à réconcilier respect absolu de la dignité humaine et préservation de la biodiversité. Promouvoir l’écologie intégrale, c’est donc reconnaître qu’on ne saurait défendre l’une sans protéger l’autre, se soucier des plus fragiles sans s’opposer à tout ce que nos modes de vie peuvent avoir de dégradant et d’aliénant. Car la détérioration de notre environnement ne peut entraîner que notre propre déshumanisation.

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