Sommaire
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Beniamino Servino
Artiste de l'architecture
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Construire autrement en Chine
À Bordeaux, le centre d’architecture Arc en rêve met à l’honneur
Wang Shu et Lu Wenyu, couple d’architectes à la scène comme à
la ville. Cette exposition revient sur leur approche sociale et engagée,
en marge de l’urbanisation galopante qui métamorphose la Chine. -
Main verte sur Annecy
Depuis vingt ans, la cité lacustre invite des artistes à s’emparer de la rue,
de ses espaces naturels et publics. Cet été, le paysage prend l’avantage
et devient une zone de dialogue pour des plasticiens de tous horizons,
réactualisant du même coup la place du spectateur dans la ville. -
Le Mexique s’invite à Londres
C’est l’événement architectural de la saison dans la capitale britannique :
le pavillon estival de la Serpentine Gallery rouvre ses portes du 15 juin
au 7 octobre. Aux commandes, Frida Escobedo. Inspirée par son pays
natal, l’architecte mexicaine nous transporte dans son univers. -
Odile Decq
C’est un bloc noir planté sur le fl anc du massif du Vercors, à Seyssins, dans
la banlieue de Grenoble. Inauguré en 2015, ce lieu de vie et de création rêvé
par la collectionneuse Colette Tornier accueillera son septième invité à la
rentrée, entre un parc de sculptures contemporaines et une tour médiévale. -
TWA Flight Center
Ouvert offi ciellement en 1962, fermé en 2001 pour cause d’obsolescence,
le terminal de la TWA conçu par Eero Saarinen (mort avant l’inauguration)
est le trésor de l’aéroport JFK, à New York. Classé monument historique,
le voici à nouveau pris en main, pour un nouveau tour de piste. -
James Turrell
Pour fêter le premier anniversaire de sa réouverture, le musée d’Arts
de Nantes accueille l’Américain James Turrell sous la verrière de son
patio immaculé. Un cadre théâtral à la mesure de l’artiste aujourd’hui
âgé de 75 ans, qui présente ici trois de ses oeuvres majeures. -
Kengo Kuma chez Paddy McKillen
La collection d’art du Château La Coste, en Provence, vient de s’enrichir
d’une pièce au caractère hybride, entre sculpture et architecture, que
son créateur, Kengo Kuma, a implantée au coeur de la forêt du domaine. -
À Paris, les nouveaux horizons de Kuoni
Installée dans le quartier de Saint-Sulpice (VIe), l’enseigne Kuoni vient de
faire peau neuve. Dégageant de la place pour l’ouverture de Vacances
Fabuleuses, un pôle voué à l’Amérique du Nord, qui bénéficie de
sa propre entrée, le voyagiste haut de gamme a donné carte blanche au
jeune studio TeePee Architects pour réaménager son espace de 150 m2. -
Boucheron dans tous ses éclats
Le concours remporté, comment le duo d’architectes Lecoadic Scotto
réaménage-t-il les soixante boutiques du joaillier français Boucheron ?
La pertinence sans sécheresse, le chic sans ostentation… Des défi s
à relever pour voyager dans le monde entier. -
Fasual éclaire les projets
Fabrice Piroué, le président de
cette entreprise d’éclairage, revient
sur la spécificité de son showroom,
ouvert dans le XVIe arrondissement
de la capitale et voué à la prescription. -
Villa Borsani
L’intérêt du public pour les demeures d’architectes et de designers ne faiblit
pas. Au nord de Milan, celle d’Osvaldo Borsani (1911-1985) était ouverte
le temps du Salon du meuble. Trop court pour en profiter ? Heureusement,
le Palazzo della Triennale consacre une exposition au maître italien. -
Au nouveau Noma, le style néodanois
Arriver le soir au nouveau restaurant Noma de Copenhague, ce petit
village de maisons de bois éclairées par de grandes baies vitrées, est une
expérience. Tout a été fait pour cela, aussi bien par les architectes de BIG
que par ceux de Studio David Thulstrup, qui signe l’architecture intérieure.
Le hygge sur un plateau, servi par LE chef danois René Redzepi. -
Marazzi, pixels et abstraction
Avec un dessin fondu inspiré des peintures et des tatouages
éphémères indiens, « Grand Carpet » est la dernière nouveauté
de la marque italienne de revêtements en grès cérame pour sols
et murs, qui se distinguent par leur grande faculté d’imitation. -
Knoll refait le siège… à l’Unesco
La marque américaine rend au grand auditorium du siège de
l’Unesco, à Paris, ses fauteuils d’origine signés Eero Saarinen,
mais légèrement retravaillés pour l’occasion.