Numéro 4
- magazine : Le Testament
- numero : 4 - 2011
- date : 01 septembre 2011
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Cécile Toulouse
- Pierre et Marthe
- Franz Reichelt
- Marmelade -
Jacques Sicard
- Le passant
- L'amour
- Le jardin
- Le printemps
- Le miroir
- Les mousses -
Erik Arnaud, sans compromis
Vous connaissez peut-être Erik Arnaud. Peut-être pas. Ce français trentenaire fut tour à tour “Révélation française de l’année 1998” lorsqu’il sortit son premier album 1998 Amerik ; “Digne héritier de Gérard Manset” en 2002, avec l’album Comment je vis, intégré au système commercial dès sa signature chez Virgin puis désintégré dans l’année pour manque de résultats; et enfin “Artiste de l’année 2008” lors de la sortie de son formidable dernier album officiel L’armure.Les mots de ses chansons résonnent souvent comme de cinglantes invectives au commerce du disque qui l’a tantôt élevé, tantôt jeté à bas, souvent ignoré: “Malgré tout, j’emmerde la chanson française / Après tout, que sont les deux tiers de l’iceberg, sinon merde, clichés, musique pour chien / Sinon, merde, clichés, du bruit pour rien” (Ma chanson française). Isolé, méprisé, parfois sanctifié, Erik Arnaud en a pris son parti et continue de bricoler son oeuvre (ou pas), hors des
sentiers battus.
Il nous semblait intéressant de prendre des nouvelles du bonhomme, érigé, (peut-être malgré lui) en poète libre et vivant, comme on prend des nouvelles d’un ami ou d’un membre de la famille qui nous est cher, par le biais d’une lettre...
Par bonheur, Erik Arnaud a joué le jeu, et répondu en toute honnêteté. Un privilège qui nous honore ! Cette correspondance vous est donc restituée intégralement, avec les joies, les doutes et les espoirs d’un artiste dispensable, dont on ne saurait pourtant se passer. -
Hervé Pizon
- Comme on se perd
- Litanie -
Emmanuel Le Grangé
Résumé : la narratrice veille un homme qui sommeille après un accident dans une chambre où seul bouge le rideau lorsque la fenêtre est ouverte. Elle cause, il souffre à peine, c’est presque la vie en temps toujours de guerres.
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Fabien Pesty
Babar
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Bruno Clochard
Calygraphie nocturne
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Note pour Passacalha Transiberiana
Mon grand-père paternel Alain BABOIS était conducteur de locomotive. Il conduisait avant la guerre 39/45 sa propre locomotive (140-B-170). J'ai la plaque à son nom.Tout petit, il m'a fait faire un tour. Je le vois encore mettre ses grosses lunettes, un casque en cuir. Puis, lui, le mécanicien, conduisant cette machine “tchoutchoutante” tandis
que le chauffeur depuis le tender jetait des pelles de charbon dans le foyer. La fumée noircissait son visage... -
Will Berry
- Ainsi
- Embrasser -
Emmanuelle Malaterre
T(su)erre ennemie
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Lilas Kwine
- Je suis calme
- A l'initial -
Emmanuel Rastouil
- Rien n'est vrai
- Le Baiser
- Celle qu'il préfère
- L'arrache-coeur
- La rencontre
- Ainsi va la pluie
- Sérénité