Presse
Jaquette Révolutions du spectateur mutant

Révolutions du spectateur mutant

  • magazine : 24 images
  • numero : 172 - 2015
  • date : 24 juin 2015
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • La grandeur d’un peuple devenu fou

    À la folie de Wang Bing

    par Nicolas Klotz
  • Dominic Gagnon

    Entretien - Avoir ou voir

    par Marie-Claude Loiselle
  • La distributrice de films

    7 courts métrages québécois

    par Bruno Dequen , Apolline Caron-Ottavi , André Roy , Philippe Gajan , Gérard Grugeau
  • Marie-José Mondzain

    Entretien

    par Marie-Claude Loiselle
  • Romeo Castellucci

    Le cerveau-couleur

    par Nicolas Klotz
  • Le sens de la rue

    (Sur un passage de Roberto Bolaño)

    par Luc Chessel
  • Spectateurs isolés

    Spectateurs solidaires

    par Alexandre Fontaine Rousseau
  • Le devenir lycanthrope du spectateur par Saad Chakali
  • Le créateur amateur

    L’évolution. Les vieilles histoires ne nous ont jamais quittés.
    Elles ne partiront jamais.

    par Lech Kowalski
  • De la conversation

    Il y a une quinzaine d’années eut lieu à la Cinémathèque québécoise
    une projection mémorable du film Zan Boko (Burkina
    Faso, 1988), en présence de son réalisateur Gaston Kaboré.

    par Julie de Lorimier
  • Michelangelo Antonioni

    Révolution(s)

    par Nicolas Klotz
  • Marcher, voir...

    Ce qui pourrait être un commencement

    par Marie-Claude Loiselle
  • Pourquoi tous morts ?

    Le cinéma lui-même, plus ou moins consciemment, a défini et
    imaginé ses spectateurs beaucoup mieux que ne l’a fait toute
    la critique réunie. Du moins jusqu’à l’époque contemporaine.
    Les cinéastes classiques ont traité les spectateurs comme des étoiles,
    la modernité a essayé de les réinventer, les questionner, les protéger
    (nous avons tous encore en mémoire l’image d’Anna Karina pleurant
    devant la Jeanne de Dreyer)…

    par Santiago Fillol
  • L’âge chimérique du spectateur

    Le spectateur de cinéma doit inventer :
    des pratiques, des rites, des mots et des
    lieux. Ce qu’on peut appeler une nouvelle
    cinéphilie, c’est-à-dire un art de vivre. Au
    spectateur de fonder ses goûts, ses choix, et
    leurs partages, sur des pratiques « déviantes »,
    des pratiques marginales, qui réintroduisent
    sa subjectivité, son mauvais esprit, au sein du
    médium, le pervertissant de l’intérieur.

    par Inland Empire
  • Le spectateur inattendu

    Pour qu'il y ait des spectateurs, encore faut-il qu'il y ait du spectacle. Pour qu'il y ait du spectacle, encore faut-il une ligne de démarcation entre la vie quotidienne (la norme) et le spectacle (l’exceptionnel). Si
    comme le prédisait Guy Debord, tout est devenu spectacle (le spectaculaire intégré), il n’y a donc plus, à proprement parler,
    de spectateurs. Il n’existe qu’un marché planétaire avec ses épiciers, ses consommateurs et, occasionnellement, de l’art
    sous une forme ou une autre, ou un concept du genre « tout est art ».

    par Marc Mercier
  • Traces

    Pour la dernière et la première fois de Sophie Calle

    par Gérard Grugeau
  • Ne tuons pas la beauté du monde

    Timbuktu d’Abderrahmane Sissako

    par Gérard Grugeau

A propos du magazine

24 images
24 images 24 IMAGES a su s'imposer comme un acteur indispensable de la vie cinématographique québécoise. Au fil des années, 24 IMAGES a contribué à faire découvrir des cinéastes inconnus de la plus grande part du public, soit parce qu'ils en étaient à leurs premiers films, soit en raison de la singularité de leur démarche (Robert Morin, Céline Baril, Tahani Rached, Catherine Martin, Arto Paragamian, Jeanne Crépeau, Lucie Lambert, Don McWilliams, François Delisle, Rodrigue Jean et beaucoup d'autres). 30 ans de présence solide et incontestée dans le paysage médiatique québécois qui nous ont permis de constater que l'histoire de la revue, et l'évolution de nos choix et de nos prises de position, ont toujours été intrinsèquement liées aux transformations du paysage cinématographique mondial, mais d'abord et avant tout à celles de notre propre cinéma dont nous avons toujours été les témoins attentifs et engagés.

Dans la même catégorie