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Jaquette Tout le monde déteste les frites molles

Tout le monde déteste les frites molles

  • magazine : Limite
  • numero : 19 - 2020
  • date : 01 juillet 2020
  • catégorie : Actualités

Sommaire

  • Confits de lecteurs

    Un beau jour de confinement, Gaultier Bès a proposé
    à nos lecteurs d’envoyer leurs réflexions sur cette expérience inédite... Il a obtenu un paquet de réponses, souvent très riches. En voici une petite sélection dont les auteurs, se sachant privilégiés, essaient d'esquisser les contours d'un monde plus vivable !

  • Michel Billé

    Face à l’idée selon laquelle
    la bonne manière de vieillir serait de « vieillir jeune », le sociologue Michel Billé conçoit la vieillesse comme une période de la vie qui offre la puissance de se mobiliser pour un monde meilleur et qui, dans le même temps, permet la joie de la transmission.

    par Antonin Gouze
  • Quel “boomer” êtes-vous ?

    Faites le test

  • Attendrissante vieillesse

    Il peut être à la fois douloureux et embarrassant de regarder
    un corps vieillir, s’affaiblir,
    se marquer. De le voir
    se transformer et perdre
    sa vigueur d’antan. Cette antipathie pour la vieillesse, cette peur de la mort nourrissent notre imaginaire collectif et construisent notre regard sur les personnes âgées. Pour tenter une conversion du regard, Limite a voulu rencontrer ceux qui nous montrent, à travers la photographie, que les corps des vieux sont beaux
    à contempler.

  • Jean Rivière

    Et au milieu coule un Rivière

    par Amaury Guillem
  • Stan Neumann

    « La classe ouvrière est un mythe très positif »

    par Théo Moy
  • Tops models

    Le corps comme fantôme et comme matrice

    par Violaine Épitalon
  • Les super-héros du capitalisme

    La crédibilité transformatrice des politiciens
    semble épuisée. alors, certains préfèrent se tourner vers les entrepreneurs de la tech. Nouvel étendard du capitalisme, Elon Musk rêve tout haut de coloniser Mars. Un discours qui séduit ses nombreux adeptes en manque d’utopies. Et pourtant, le milliardaire n’a rien de nouveau.

    par Vincent Bresson
  • Dr Jean Vitaux

    « La gastronomie
    est l’antithèse
    de la goinfrerie »

    par Gaultier Bès
  • Les Petites Cantines

    La frite des voisins!

    par Gaultier Bès
  • Robins des boîtes

    « Dans les grosses surfaces, c’est pire ! si vous saviez tout ce qu’ils jettent, des conteneurs entiers... » Il est à peine 21h, ce doux jeudi d’avril, et nous venons d’accoster sur le parking d’une boulangerie industrielle. Nous, c’est Chloé, Nicolas et moi. Mais ce soir-là, nous ne sommes pas seuls. Un couple a déjà les mains dedans. Dans quoi? Dans les poubelles, pardi!

    par Gaultier Bès
  • Comment nourrir demain l’humanité ?

    Qui mieux que des agriculteurs pour répondre à cette question?
    Sans entrer dans des débats agronomiques trop pointus, trois d’entre eux ont pris le temps, en pleine saison, de témoigner de leur expérience agro-écologique. avec une certitude commune: la souveraineté alimentaire ne passera pas par l’industrie, mais par la paysannerie.

  • Anne-Gersende Warluzel & Falk van Gaver

    Pourquoi et
    comment nous
    sommes devenus
    végétariens

  • Rabelais contre les rabais

    Une des blessures du peuple de France est la fracture ouverte entre celui qui produit et celui qui consomme. Face au déracinement, l’heure des soins a sonné.

    par Joseph Gynt
  • Aude-Reine & Régis Anouil

    « Le fruit de la vigne et
    du travail des hommes »

A propos du magazine

Limite
Limite LIMITE est une revue de combat culturel et politique, d’inspiration chrétienne. Face à la démesure contemporaine, nous voulons promouvoir une écologie intégrale qui se fonde sur le sens des équilibres et le respect des limites. « Science des interactions et des conditions d’existence », l’écologie ne saurait choisir ni l’humain contre la nature, ni la nature contre l’humain. Parce que « tout est lié », elle doit chercher au contraire à réconcilier respect absolu de la dignité humaine et préservation de la biodiversité. Promouvoir l’écologie intégrale, c’est donc reconnaître qu’on ne saurait défendre l’une sans protéger l’autre, se soucier des plus fragiles sans s’opposer à tout ce que nos modes de vie peuvent avoir de dégradant et d’aliénant. Car la détérioration de notre environnement ne peut entraîner que notre propre déshumanisation.

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