Presse
Jaquette Yelle

Yelle

  • magazine : Maze
  • numero : 39 - 2015
  • date : 08 avril 2015
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Pourquoi faut-il lire Game of Thrones ?
  • Mondial du Tatouage

    Il est toujours impressionnant de participer à des rassemblements d’aficionados, d’autant plus lorsqu’il s’agit du milieu, a priori, fermé du tatouage et d’un événement d’une telle ampleur. En trois éditions, le Mondial du Tatouage s’est imposé comme une des conventions les plus réputées du monde. Organisé par la figure emblématique du tatouage français Tin-Tin et parrainé par l’acteur (tatoué, forcément !) Nicolas Duvauchelle, l’événement a rassemblé pas moins de 340 artistes tatoueurs venus du monde entier et quelques 27 000 visiteurs. Pas de doute, le 6, 7 et 8 mars dernier, la Grande Halle de la Villette était the place to be !

    par Eloise Prével
  • Tu dors Nicole

    Le surréalisme fait du somnambulisme

    par Emma Pellegrino
  • Centenaire du génocide des Arméniens

    Vers la fin du déni ?

    par Astrid Agopian
  • Hanni El Khatib

    On pensera ce que l’on veut du dernier album d’Hanni El Khatib, mais s’il y a bien un domaine dans lequel le Californien met tout le monde d’accord, c’est en concert. Depuis son premier concert, sa réputation n’a fait que de se renforcer, et cette nouvelle tournée française s’annonçait tout aussi dingue. Mardi 10 Mars, il faisait étape au Cargö à Caen, où il était déjà
    venu deux ans plus tôt.

    par Jules Gaubert
  • Taryn Simon

    Montrée pour la première fois en France, Taryn Simon s’expose au Jeu de Paume, et dévoile les dessous d’une société rongée par le secret. A voir jusqu’au 17 mai prochain.

    par Laure Chastant
  • En Route, Dreamworks et le commerce

    « Boov »: extraterrestre venu coloniser la terre, le long-métrage se révèle être la quintessence du film commercial. Toutefois, cet aspect arrive à être exploité d’une manière intelligente tant pour la transmission de l’émotion que de la trame en elle-même.

    par Baptiste Erondel
  • Yelle

    Depuis plus de dix ans, Julie Budet et Grand Marnier passent leur vie entre le studio et la scène, à la barre du projet Yelle. Même si Yelle est en quelque sorte devenu le nouveau prénom de Julie, le projet est loin de se dérouler en solo et ses deux moitiés ont trouvé au fil des années le moyen de se réinventer. Avec trois albums, de l’époque tecktonik avec Pop Up en 2007, en passant par Safari Disco Club en 2011 puis Complètement fou à la fin de l’année 2014, Yelle a exploré et redéfini les codes de la pop française. Le groupe en est aujourd’hui le meilleur ambassadeur dans le monde, remplissant les salles, les festivals aux États-Unis comme en Amérique du Sud, ayant su conquérir une communauté importante de fidèles. Cette année s’ouvre une nouvelle tournée mondiale pour défendre de nouveaux morceaux, et c’est au début de ce nouveau marathon que nous avons eu la chance de pouvoir nous poser et discuter, bien évidemment juste avant un concert, à Rennes, avec Julie.

    par Baptiste Thevelein , Marion Poncel , Solène Lautridou
  • Sufjan rencontre Carrie

    Dites au revoir aux envolées lyriques, aux solos de trombone, aux chansons de huit minutes, et aux choeurs féminins envoûtants. Tout ça c’est du passé, place maintenant au retour aux sources dont nous avions tous besoin. Sufjan Stevens, maître incontesté de la folk américaine, a mis son orchestre de coté pour nous livrer un treizième opus.

    par Sofia Touhami
  • Crosswind

    La vie en suspension

    par Lisha Pu
  • Fauve

    Le dernier album de Fauve, Vieux Frères partie 2, est sorti en février 2015. L’opus est plus rock, plus offensif que le précédent et que l’EP et semble ouvrir la voie à plus d’optimisme, comme si le collectif avait presque réussi à se sortir de son mal-être, de sa morosité. Cet esprit se retrouve dans les titres électriques et fiévreux Bermudes, T.R.W. (chanson qui donne vraiment envie de bouger et qui convainc vraiment sur scène), Sous les arcades, ou encore Paraffine, qui semblent encourager à la lutte contre la morosité. Azulejos, qui se rapproche d’un rag, est en comparaison plus sombre et plonge celui qui l’écoute dans des pensées sur la mort, la souffrance, les obsessions, les cauchemars avant de revenir
    à des paroles plus vindicatives et provocatrices envers ces vieux démons. Rag#5, Rag#6, Les Hautes Lumières, Tallulah mais aussi Révérence sont plus douces, plus lumineuses (assez dans la suite de Vieux Frères ou de Lettre à Zoé). Peu de temps après, le groupe part avec le collectif faire la tournée des Nuits Fauves. Nous y avons donc assisté pour vous !

    par Julia Coutant
  • The Voices

    Carnaval schizophrénique

    par Anna Fournier
  • Kid Wise

    Trois années après la naissance de Kid Wise, l’innocence juvénile demeure au coeur de l’univers de ce groupe toulousain. Zoom sur leur album fraîchement sorti, L’Innocence.

    par Marie-Madeleine Remoleur
  • Les merveilles de l’Orient s’invitent à Montréal

    Depuis le 31 janvier, le Musée des Beaux-Arts de Montréal expose sur ses murs des oeuvres de Jean-Joseph Benjamin-Constant, maître incontestable de l’orientalisme du XIXème siècle. À ses côtés, d’autres grands orientalistes tels que Laurens, Delacroix, Regnault et Gérôme, sans oublier des artistes marocaines qui nous offrent leur regard contemporain sur ces oeuvres. Pour cette exposition, le musée organise des soirées à l’orientale, l’occasion de
    s’offrir un voyage aux couleurs chatoyantes.

    par Myriam Bernet
  • Soko

    L’année dernière, une marque de vêtements américaine avait eu pour projet de présenter
    leur nouvelle collection dans un court métrage mettant en scène des inconnus qui s’embrassaient pour la première fois. Cela a donné « First Kiss », visionné plus de 100 millions de fois depuis et mis en musique par Soko, apparaissant elle même dans la vidéo. Le morceau « We Might be Dead by Tomorrow », provenait du premier album de la chanteuse et actrice française, I Thought I Was an Alien, agréable disque lo-fi.

    par Emilie Lingat

A propos du magazine

Maze
Maze MAZE est né de la synergie de deux jeunes lycéens : Baptiste Thevelein et Quentin Tenaud. Symboles forts du développement du magazine, les réseaux sociaux ont été à l’origine de la rencontre entre les deux créateurs. A l’image de cette organisation particulière, le magazine est résolument jeune. 82 rédacteurs bénévoles, entre 15 et 25 ans, des quatre coins de France et de Belgique, mettent tous les mois, leur dynamisme, leur créativité, leur temps et surtout leur talent à contribution, pour réaliser ensemble un travail de qualité. Maze a constitué une communauté de lecteurs fidèles, s’aventurant régulièrement dans les couloirs de ce labyrinthe de curiosités. Actualité, Musique, Cinéma, Lifestyle, Littérature, Art, Jeux Vidéo : tous les sujets sont traités, avec un souci qualitatif prépondérant.

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