Dos madres de Víctor Iriarte
- magazine : Les Fiches du Cinéma
- numero : 2380 - juillet 2024
- date : 01 juillet 2024
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Dîner à l’anglaise (The Trouble with Jessica) de Matt Winn
Obligés de vendre leur maison, Sarah et Tom organisent un dernier dîner avec leurs amis Beth et Richard. Jessica, qui vient de sortir un best-seller, s’incruste... et se pend dans le jardin. Une comédie subtile sur nos égoïsmes.
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Dos madres (Sobre todo de noche) de Víctor Iriarte
Vingt ans après, Vera retrouve la trace de son fils, qui lui avait été enlevé à la naissance. Évocation des ravages durables du franquisme, Dos madres se défie également du mélo lacrymal et du didactisme, et se distingue par l’inventivité de sa mise en scène.
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Eat the Night de Caroline Poggi et Jonathan Vinel
Ce récit d’amour et de perte, sur fond de trafic de drogues et de jeu vidéo, hybride son humeur entre bonne dopamine naturaliste (avec une belle histoire d’amour) et mauvais archaïsme martial et vidéoludique, pour un résultat imparfait mais charmant.
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Karmapolice de Julien Paolini
Policier idéaliste en arrêt de travail, Angelo emménage avec Pauline dans le quartier parisien de Château Rouge. Les rencontres qu’il va faire vont peu à peu entrer en résonance avec un lourd secret qu’il porte. Un polar introspectif fascinant.
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Monolith (Monolith) de Matt Vesely
Enfermée dans la maison de son enfance suite à un article dans lequel elle a accusé sans preuve un homme, une journaliste voit ressurgir un secret familial. Une stimulante analyse de notre responsabilité face à la vérité.
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Santosh (Santosh) de Sandhya Suri
Santosh devient policière, en héritant du poste de son mari, décédé. Elle enquête sur le meurtre d’une jeune intouchable. Un film passionnant car son style, d’abord incertain, se précise et s’affirme en même temps que se révèle la vérité, et sur le même rythme.
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Twisters (Twisters) de Lee Isaac Chung
Cette suite tardive du Twister de Jan de Bont en reprend les tornades tout en introduisant une nouvelle génération de chasseurs d’orages. Un film catastrophe en zone de confort, qui remplit avec professionnalisme son cahier des charges, aidé par l’alchimie de son duo vedette.