J’approuve en tout point ton discours
- magazine : Story Teller
- numero : 1 - décembre 2014
- date : 01 décembre 2014
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
-
Léa Frédeval
La gueule d'une génération ?
-
Bande de drogués !
Petites histoires
(vraies) de lâcher
prises, entre
inconscience et
dérapages contrôlés. -
Petit précis d’esbroufe à l’usage des paresseux
Ami esbroufeur en puissance, ôte-toi de
la tête qu’il faut être brillant pour briller
en société. Ou qu’il faut avoir lu les
livres dont tu parles. Encore moins qu’il
faut travailler beaucoup pour apprendre
à parler bien. Tu peux y aller tout doux.
L’éclat ne vient pas de soi, mais se reflète.
Les prérequis intellectifs sont des
plus simples : une petite culture – on
ne va pas se casser le cul à s’en forger
une grosse si ce n’est pas nécessaire –
une bonne louche de vocabulaire (une
touche d’argot, une pincée de jargon
sont un plus), de l’aplomb délicat, ou
plutôt l’art d’en user sans en avoir l’air,
l’entraînement faire du lien. Prends un
café. Ton public y est installé. Disons
une demi-douzaine de personnes que tu
connais plus ou moins. -
Musée Picasso
Le poisson pourrit par la tête
-
Gonzo
Six idées reçues sur Fuzati
-
Leïla Slimani
Premier roman, Dans le jardin de l'ogre
-
Fakear
De la musique, une envie de voyager, des sentiments
et des sensations en bataille dans la tête,
Fakear est une des révélations musicales de cette
année 2014. En moins de deux ans, le Caennais de
23 ans semble déjà s’être imposé comme une référence. - Pornos et alcools...
-
Un problème de matière grise
Une pub pour de la mousse au chocolat. Une autre pour du
chewing-gum. Des Lorrains à Los Angeles, très bronzés et
avec de grandes bouches qui parlent très fort. Un reportage
sur l’éléphant de mer. Et puis une image à l’écran. Une
impression d’image, plutôt, une atmosphère grise et beige. -
Zonards modernes
Habiter à Paris, une évidence en région parisienne.
Habiter aux alentours de Paris en
revanche est souvent perçu comme une anomalie
ou un raté. Parisiens et banlieusards
fréquentent les mêmes lieux : de la fac aux
bars en passant par les afters du dimanche
matin. Sauf qu’à minuit, le zonard se retransforme
en citrouille ou en vagabond nocturne. - L’enfer et les autres
- Je suis un pro de l’esquive