Java
- magazine : Longueur d'ondes
- numero : 49 - 2009
- date : 01 avril 2009
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
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Alexis HK
Ces quatre dernières années, il a sillonné, seul, la France, jouant parfois pour une poignée de gens de passage. Il a aussi changé d’air, quitté sa maison de disques, opté pour un label à taille humaine et ouvert les vannes de son
inspiration. Qu’on se le dise, Alexis HK is back ! -
Nevchehirlian
Il est des noms de groupes qui annoncent d’emblée la couleur. Ainsi pas de longs discours pour comprendre qu’ici point de démagogie commerciale, mais l’envie pour l’instigateur de ce projet, d’une aventure musicale authentique.
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MaJiKer
Magicien des sonorités organiques, ce jeune Anglais, Français d’adoption,
nous offre une pépite de créativité autour de trois axes : le corps (beatbox),
le piano et la machine électronique (clavier Yamaha PSS 270). -
Ghinzu
On ne les avait pas oubliés, loin s’en faut ! On trépignait même d’impatience en attendant la suite de leurs élucubrations musicales. Ca tombe bien : les Belges ne nous oubliaient pas non plus, ils préparaient secrètement leur retour dans une société de stockage bruxelloise.
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Dominique A
En 1992, son premier album, La fossette, ouvrait une brèche dans la chanson
française et de grands espaces à toute une génération. Sept disques plus tard, il signe une oeuvre cardinale, un double album : La musique / La matière. -
Karkwa
Au Québec, 2008 a sans contredit été l’année Karkwa. Le groupe art rock planant de Montréal né il y a dix ans se réinvente avec Le volume du vent, un troisième album atmosphérique qui le mène en France ce printemps.
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La revanche du vinyle
Après avoir été poussée hors des bacs de la grande et moyenne distribution par les affairistes de l’industrie du disque, la galette noire a encore de beaux jours devant elle.
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Java
Après six ans d’absence discographique, retour de la formation parisienne déjantée avec un troisième album : Maudits Français. Explications sur cette longue pause, sur leurs aspirations actuelles et sur cette étiquette “rap musette” qui leur colle à la peau…