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Jaquette numéro zéro un deux

Numéro zéro un deux

  • magazine : Fondcommun
  • numero : 2 - décembre 2011
  • date : 01 décembre 2011
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • CMC Les petites-Roches par Véronique Boulard
  • Chewing-gums par Hendrik Sturm
  • Kubin par Pierre Alféri
  • “pas d’argent pas d’amis ” par Jean-Marie Perdrix
  • Un passage par Pali Meursault
  • Agencer l’improbable par François Deck
  • Des travaux par Eustache B.
  • Inspecteur Ruiz(z) footing par Denis de Lapparent
  • Danzar o Morir par Sylvie Marchand
  • Chantier par Par Claude Horstmann
  • Le joueur

    Anonyme

    par Anonyme
  • Commun ou collectif ? par Joëlle Zask
  • Une équation par Vincent Bonnet
  • Bitume par Arnaud Vasseux
  • Plus que nous par Frédéric Nevcherhirlian
  • Après l’extinction des faits par Tito Gascuel , Atelier Xalmuck
  • Arbre par Maki
  • Captation par Fabien Lerat
  • Foule par C'était où ? C'était quand ?
  • Image Myope par Pascal Dufaux
  • Agraphies, notes par David Lespiau
  • Hors-la-loi par Anonyme
  • Babel par Frédéric Arcos
  • Désinstaller par Guillaume Fayard
  • L’évidance par Esther Salmona
  • Extrait de la série Vite par Stépahne Le Mercier
  • Agence de conversation de la veille par Ici-Même [Gr.]

A propos du magazine

fondcommun
Fondcommun fondcommun est un organe de presse problématique, une espèce « hors-norme » de journal — entre la revue d’artistes et le gratuit urbain. Il est constitué de propositions problématiques, dans leurs formalisations, leurs processus de création, leurs contenus et dans le fait de les rendre publiques. Chaque page est une proposition d’un artiste différent. Nous cherchons à faire du journal une œuvre commune, collective et donc imprévue : une écriture en images et en textes, directe, manifeste, ambiguë et complexe... La revue cherche de nouveaux usages en dehors de ceux institués par les mondes de l’art, de la politique, du commerce, du spectacle, de la finance et des médias. fondcommun cherche à s’immiscer dans des lieux de vie quotidienne où l’on est amené à attendre, à prendre, perdre son temps. Nous cherchons à concrétiser un réseau de diffusion, dont les protocoles sont le prêt, la consultation, le don : bref, une libre circulation.
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