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Jaquette Les palais de Téhéran

Les palais de Téhéran

  • magazine : La Revue de Téhéran
  • numero : 66 - 2011
  • date : 01 mai 2011
  • catégorie : Culture & arts

Sommaire

  • Saltanat Abâd, palais fantôme du Vieux Téhéran

    La ville de Téhéran, choisie en 1795, quelques années après la Révolution française, pour être capitale iranienne, comporte de très nombreux palais et châteaux petits et grands, construits en particulier depuis le début du règne des Qâdjârs jusqu’à la Révolution islamique de 1979.

    par Arefeh Hedjazi
  • Le palais de Saadâbâd : Un survol historique et culturel

    Situé entre la pente douce des contreforts d’Alborz et la vallée verte de Darband, à Shemirân, le palais de Saadâbâd est incontestablement l’un des plus prestigieux palais de la capitale iranienne. Il est érigé sur une superficie de 110 hectares couverts majoritairement par des forêts naturelles, des rivières, des rigoles, des jardins riches en plantes d’origines diverses et des sentiers enserrés par des arbustes et des tapis de fleurs (d’où son air sain et frais). Il avoisine également les (anciennement) « villages » de Golâbdarreh à l’est, de Velendjak à l’ouest et de Tajrish au sud.

    par Afsâneh Pourmazâheri
  • Le palais du Golestân, raconté par Soltan ‘Alî Mirza Kadjar

    Après m’avoir reçue une première fois à Paris puis à Téhéran pour me conter l’histoire des derniers shahs qâdjârs et rappeler le rôle essentiel joué par cette dynastie sur la culture persane [1], Soltân ’Alî Mirzâ Kadjar, petit-fils et neveu des deux derniers rois qâdjârs a, une fois encore, accepté de m’ouvrir ses portes pour évoquer l’histoire du palais du Golestân, bâti par ses ancêtres.

    par Mireille Ferreira
  • Le complexe du palais de Niâvarân, témoignage historique et architectural de deux dynasties

    Situé au nord-est de Téhéran, le complexe de Niâvarân se compose principalement du palais de Niâvarân (Kâkh-e Niâvarân), du pavillon Ahmad-Shâhi (Koushk-e Ahmad-Shâhi), et du palais Sâhebgharânieh (Kâkh-e Sâhebgharânieh).

    par Sarah Mirdâmâdi
  • Le Palais de Marbre (Kâkh-e Marmar), joyau architectural au cœur de Téhéran

    Situé à l’intersection de la rue Imâm Khomeyni et l’avenue Vali Asr, le Palais de Marbre a été construit en 1938 sous l’ordre de Rezâ Shâh par des célèbres architectes de l’époque. Le plan initial du palais avait été élaboré pas Rezâ Shâh lui-même.

    par Hoda Sadough
  • Le Palais de Marbre (Kâkh-e Marmar), joyau architectural au cœur de Téhéran

    Situé à l’intersection de la rue Imâm Khomeyni et l’avenue Vali Asr, le Palais de Marbre a été construit en 1938 sous l’ordre de Rezâ Shâh par des célèbres architectes de l’époque. Le plan initial du palais avait été élaboré pas Rezâ Shâh lui-même.

    par Hoda Sadough
  • Le palais du Bahârestân, creuset de l’histoire iranienne moderne

    Le palais du Bahârestân, construit en 1879 sur ordre de Mirzâ Hossein Khân Sepahsâlâr, chancelier du roi Nasseredin Shâh Qâjâr, a été choisi comme siège de l’Assemblée Nationale de l’Iran après la Révolution Constitutionnelle de 1906.

    par Djamileh Zia
  • Le tapis persan et le kilim d’Orient

    Dans les documents en persan ancien, le mot honar (هنر) qui signifie « art » dans le persan moderne, est très présent. Les origines de ce mot remontent d’abord au sanskrit, ensuite à la langue avestique. Mais rien ne nous prouve que ce terme ait exactement la même signification (art) dans les langues anciennes que dans le persan moderne. Les recherches linguistiques semblent confirmer que dans les langues anciennes, le mot honar avait une portée beaucoup plus large que sa signification restrictive dans la langue moderne.

    par Babak Ershadi

A propos du magazine

La Revue de Téhéran
La Revue de Téhéran LA REVUE DE TEHERAN est le seul magazine iranien en langue française visant à faire connaître et à approfondir certains aspects historiques, philosophiques, ou sociaux de la culture iranienne. La Revue de Téhéran traite également de la littérature et aborde certains grands débats sociopolitiques iraniens et français actuels. Le but de cette revue est non seulement de faire connaître davantage les multiples richesses de l’Iran, mais également de favoriser la recherche comparée sur des thèmes communs à ces deux cultures, et à ouvrir de nouveaux domaines d’études et de coopération entre l’Iran et la France.

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