Sébastien Tellier
- magazine : Le Bonbon Nuit
- numero : 19 - 2012
- date : 01 mars 2012
- catégorie : Culture & arts
Sommaire
-
Soko, l’intraterrestre
Dans les locaux de sa maison de disques, SoKo, 26 ans, tignasse noir corbeau jusqu’aux hanches, embrasse chaleureusement tout le monde. Quand elle me claque la bise, elle glisse qu’elle me trouve très belle. On a connu pire comme entrée en matière…
-
Get a room!
Pas une semaine ne se passe sans que le nom Get
A Room ! n’apparaisse. Ce duo de Français a su
remettre au goût du jour des perles oubliées grâce
à des edits* audacieux et malins en faisant toujours
preuve d’éclectisme. Rencontre avec ces défricheurs
hors pair. -
Sébastien Tellier
Quatre ans après la sortie du génial Sexuality,
Sébastien Tellier revient avec My God is Blue, un
album mystico-communautaire qui dépasse largement
les cadres de la production musicale. Au Bonbon
Nuit, quelque peu déçus par les affres du monde
moderne, on a décidé de se convertir à l’Alliance
bleue. Notre nouveau Dieu vous en dit tout. -
Étienne Jaumet
À l’heure du tout numérique et des DJ laptop, Étienne Jaumet détonne par sa pratique exclusive des synthés analogiques. Salué par les plus grands pour ses recherches sonores (Carl Craig a produit son premier album en 2009), ce sorcier distille une électro mentale, exigeante et hédoniste. Le temps d’un entretien, nous sommes rentrés dans son univers.
-
Tristesse contemporaine
Tristesse Contemporaine entretenait les espérances depuis leur single 51 ways to leave your lover en 2009. À l’écoute de leur premier album, elles ne seront pas déçues puisque la ligne électro rock / dark wave entraperçue il y a trois ans a été respectée, voire enrichie. Nous les avons rencontrés dans un bar où la patronne avait décidé de mettre Whitney Houston en toile de fond. Tristesse contemporaine, vous avez dit ?
-
Kap Bambino
Riche, underground, démesuré, Devotion arrive en trombe cet hiver. Fruit du travail de Caroline Martial et Orion Bouvier, l’album sonne comme la promesse de belles surprises, tant en live qu’à domicile. Précurseurs d’un style encore trop mal défini (car finalement inclassable), les deux acolytes nous ont accordé une entrevue, dans les locaux de chez Because.
-
Clément Meyer
Clément Meyer a fondé il y a cinq ans le blog/collectif Get the Curse, expression que l’on pourrait traduire par «chope la malédiction». De magie noire et de célébrations vaudoues, il a peut-être été question lorsque les dancefloors parisiens l’ont happé à l’âge d’or des clubs des Grands Boulevards dans les années 2000. Aujourd’hui DJ international, producteur et label manager, il revient sur ses années de jeunesse et sur l’aventure de son crew à l’occasion des cinq ans de celui-ci.
-
Gunther Love
Champion du monde d’air guitar 2009 et 2010, Gunther Love est depuis devenu le trublion incontournable de nos nuits. Entre son groupe les Airnadette (qui font semblant de jouer des instruments) en tournée en ce moment et son rôle de DA au 114, il donne aux nuits un supplément de fun et de déconne.
-
Studio 54
Haut lieu de la culture underground new-yorkaise mais avant tout repère glamour, le Studio 54, fondé en 1977, a bâti sa légende, comme le Palace, en réunissant sur une même piste de danse les stars de toute une époque et les masses. Retour sur l’histoire de la « plus grande boîte de nuit de tous les temps ».