Musiques mongoles

Sommaire

• Des festivals pour l’été

  Les festivals de l'été s'organisent maintenant. Mais en raison d'une situation sanitaire entre deux eaux et dont on ignore l'évolution, c'est en pleine incertitude qu'ils doivent prévoir la programmation, les budgets, l'organisation. Entre casse­tête et prise de risque, le point avec René Martin, directeur artistique de la Folle journée de Nantes et du festival de piano de la Roque d'Anthéron.

  par Emmanuelle Bordon
• Musiques mongoles

  Dossier

  par Emmanuelle Bordon , Earnest Bubulle de Surcroît , Amélie Tsaag Valren
• Le khöömii, un art connecté à la nature

  On l'appelle « chant diphonique » en occident mais les mongoles disent khöömii, ce qui signifie littéralement « le pharynx ». Cette technique vocale particulière, qui consiste à produire plusieurs sons simultanément, intrigue et passionne. Voyage au pays des harmoniques.

• Morin Khuur, l’instrument omniprésent

  Symbole de l'identité culturelle mongole, le Morin Khuur est présent de longue date dans les diverses musiques de Mongolie.
  Avec une vitalité non démentie, il accompagne aujourd'hui l'évolution des courants musicaux et est plus que jamais joué par les jeunes mongoles.

• Symboliques équines du morin khuur

  La vièle à tête de cheval sculptée pourrait évoquer un passé suranné. Bien vivant au contraire, le morin­khuur puise ses racines dans un culte féminin primitif, qui s'est transformé sous l'influence du patriarcat avec la légende du cheval ailé, mais garde, entre autres, son rôle d’instrument des cérémonies en Mongolie.

  par Amélie Tsaag Valren
• Le carnyx

  Un bijou gaulois d'orfèvrerie musicale

  par Benjamin Goron